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vendredi 31 janvier 2014

Rencontres Citoyennes de Die et Rhône-Alpes...( J+10 )


XIIe RENCONTRES ECOLOGIE AU QUOTIDIEN
 
Vendredi 31 janvier 2014 FECONDE CONVIVIALITE


Die Salle Beauvoisin
 10hAtelier participatif : L’Ecovolontariat, acte citoyen et solidaire
L'écovolontariat désigne toute action bénévole dans la nature dans un but de préservation de l'environnement et de la biodiversité du territoire. Le rôle des associations locales. 
Lise Jarniat, Marielle Geoffroy : Volontaires pour la Nature-Laure Vuinée, LPO Drôme -Philippe Mesda, ONF - Gilbert David, approche ornithologique, groupe local LPO Diois
Die Salle Fond Giraude
10hLe Jeu de la Ficelle : pour construire un monde plus solidaire
Comprendre les impacts de nos choix de consommation sur l’environnement, les pays du Sud, la santé, la justice.
Daniel Cauchy, Maison du Développement Durable, Louvain la Neuve
Die Palais Social- Escdd-Place de l’Evêché- Die
10hAtelier Découverte Laines locales et initiation au feutre
A la découverte des différentes toisons de brebis dioises, richesse textile de notre territoire. Technique du feutre de laine à l'eau et au savon. Sur inscription.
Véronique Charles
Die - Habitat Groupé Habiterre
14h Visite de la chaufferie au bois déchiqueté collective du site habitat groupé Habiterre - Sur inscription uniquement auprès de l'ADIL Information Energie au 04 75 79 04 47
Die 14h  L’Agriculture avait besoin de bras…
Flux Migratoires en Milieu Rural.Les particularités des migrant(e)s des campagnes en relation avec les enjeux propres aux mutations des mondes ruraux.
Philippe Hanus, historien du CPIE-Vercors conventionné PNRV
Die Salle Beauvoisin
 14h Protection des chauves-souris dans le Diois
La LPO Drôme et l’ONF œuvrent pour gérer la grotte des Sadoux et le site alentour afin de regagner de la biodiversité à travers des actions de sauvegarde des chiroptères.
Laure Vuinée, chargée de mission LPO Drôme
Die Salle Beauvoisin
17h L’Ecole en Forêt : à l’école de la nature
Expériences d’Ecoles en Forêt en Suisse et en Allemagne : recréer un lien profond avec la nature développe l’autonomie des enfants.
Marie Arnould, rédactrice en chef des «4 Saisons du jardin bio» de Terre Vivante
Résonance Locale : Laure Martin, Ecole «Que la joie demeure» Véronne - Isabelle Peloux-Ecole des Colibris, les Amanins 
Die 17hSouveraineté Alimentaire et Biodiversité
Film/Débat  ALTER EGAUX, cultures en partage, terres en devenir  
du CCFD-Terre Solidaire. Témoignage d’associations paysannes indonésiennes plaidant et agissant en faveur d'une réforme agraire du pays en vue de sa souveraineté alimentaire.
Jacques Coudurier, Chargé de communication au CCFD-Terre Solidaire Drôme
Résonance Locale : Bruno Clavel et Guy Perret, Confédération Paysanne de la Drôme et Comité d’Action Juridique
Valence  - Salle Haroun Tazieff, Maison des Sociétés, rue St Jean (derrière la médiathèque)
20h30 La Biodiversité de la Drôme à travers 30 années d’Epines Drômoises 
De nombreux milieux et espèces ont été décrits par les naturalistes inventoriant la biodiversité locale dans le journal de la Frapna Drôme.
FRAPNA-Drôme : Elisabeth Raillon, directrice de publication- Didier Ariagno, président- Roger Mathieu, président d’honneur----------------------------------------------
 Die- Salle Polyvalente
20h30Spectacle MusicalOdysséeTerre de l'Aube
Une réflexion sociale enrobée d’émotions.                                                            
Roman graphique musical qui mélange chansons, dessin-live, multimédia, BD, récit, animations. Inspiré du carnet d’un immigrant au Québec arrivé caché dans un bateau à conteneurs devenu au fil des années un véritable bâtisseur de pays par ses actions. Un spectacle universel touchant et utile.
 
Martin Ferron, Productions Sème- Prix de la francophonie

La révolution énergétique n' est pas pour demain...

La contre-révolution énergétique de l’Union européenne. Décryptage


En annonçant un objectif de réduction d’émissions minimaliste et en abandonnant toute ambition d’amélioration significative de l’efficacité énergétique et du déploiement des énergies renouvelables, tout en délivrant un feu vert à l’exploitation des énergies fossiles non conventionnelles, la Commission européenne propose d’enferrer les sociétés européennes dans un modèle énergétique fossile et fissile. Explications. La politique climat de l’Union européenne (UE) est fondée sur le paquet énergie-climat 2020 qui prévoit, d’ici 2020, de réduire de 20 % les émissions de gaz à effet de serre, de porter à 20 % la part des énergies renouvelables dans la consommation énergétique européenne (avec des objectifs nationaux contraignants, 23 % pour la France) et de réaliser une amélioration de 20 % de l’efficacité énergétique. Ce 22 janvier, la Commission européenne a publié ses propositions (1) pour la période 2020-2030, qui seront discutées lors du prochain Conseil européen des 21-23 mars, et qui doivent être adoptées d’ici 2015. Elles sont également appelées à devenir la position de négociation de l’UE pour la conférence internationale de l’ONU sur le climat de décembre 2015 qui se déroulera à Paris.

jeudi 30 janvier 2014

Rencontres Citoyennes de Rhône-Alpes...( J+9 )

XIIe RENCONTRES ECOLOGIE AU QUOTIDIEN

Jeudi 30 janvier 2014 MANGER POUR VIVRE

Die
Salle Beauvoisin
10hAtelier Découverte Alimentation Vivante
Echanges sur l’alimentation vivante et préparation de différents plats.
Venez apprendre à vous régaler de préparations simples, vivantes et crues, pour faire le plein de vitalité.Die
Die Salle Polyvalente 10h Film 7 Milliards d’Autres de Yann Arthus-Bertrand
Du pêcheur brésilien à la boutiquière chinoise, de l'artiste allemande à l'agriculteur afghan, 6000 personnes ont répondu aux mêmes questions sur leurs peurs, leurs rêves, leurs épreuves, leurs espoirs…
Die Palais Social - Escdd-Place de l’Evêché- Die
10h30Atelier  Massage Nourrissons
Aurélie Vuinée 
14h Salle Polyvalente Transition Energétique : quel territoire pour après demain ?
A partir de scénarios du rural en 2042 imaginés par des habitants ardéchois, l’atelier propose une animation/débat sur l’avenir du territoire. Construire collectivement une vision commune et partagée du rural à travers un jeu de rôle.
Nicolas Senil et Durand Lucas du Cermosem, Antenne de l’Université de Grenoble en Ardèche. Université de Saint martin d’Hères.
Die Salle Beauvoisin
14hFilm Dr Catherine Kousmine
Hommage au Dr Kousmine. Cinq  médecins fond un constat sur l'Alimentation actuelle. Que devons-nous manger ?
Marion Kaplan
Die Salle Beauvoisin
16h Ecoloconte Poèlitico-Rigolo Episode 2
Mais c'est où les freins ? Développement durable quand tu nous tiens...à coeur d'être une réalité !
Pistil, fabuliste
Die Salle Polyvalente 17hFilm/Débat Love Meat Tender de Manu Coeman et Yvan Beck
Un documentaire qui dévoile ce qui se cache sous notre steak. La Terre en paie le prix fort : animaux-machines, pollution, épuisement des sols, des forêts, réchauffement climatique. Echanges sur des alternatives.
Daniel Cauchy-la Maison du Développement Durable, Louvain la Neuve
Résonance Locale : naturopathes drômois
Die Salle Polyvalente 20h30 L’Alimentation, Source de Santé 
Comment prévenir et guérir de nombreuses maladies par l’alimentation.
Notre façon de se nourrir influe sur notre vie et sur notre santé physique et psychique.
Marion kaplan, élève du Dr Kousmine, nutritionniste, auteure de 17 ouvrages sur l'alimentation
Résonance Locale :Anne Portier, naturopathe

Ecocide...

Ecocide

Pendant que la gent journaleuse s’absorbe à commenter jusqu’à plus soif les pitreries pitoyables du sinistre Dieudonné ou les frasques amoureuses du Prince un drame grandiose se noue dans le dos des spectateurs captivés par le babillage minable de la clique des amuseurs. Partout, dans une inquiétante indifférence, le patrimoine naturel commun de l’Humanité se meurt.
L’agonie a débuté depuis longtemps déjà. Et depuis longtemps « également l’on moque tous ceux qui s’en alarment dans leur aride désert. L’on a appelé à la rescousse, outre les journalistes les moins regardants, des cohortes d’experts autorisés à dire à quel point les multiples alarmes sont autant de peurs irrationnelles. Allons, le péril n’est pas si grand, l’Homme est plus puissant et inventif que la nature qui le nourrit. Il peut donc continuer de l’exploiter, de la défigurer en maints endroits, de la vendre au plus offrant, de lui substituer par morceau des ersatz de nature artificialisées en laboratoire. Le féroce appétit du capitalisme, lui-même moribond, n’a plus de limites. Des seuils d’irréversibilité sont d’ores et déjà franchis en ce qui concerne la capacité des écosystèmes à supporter ce qui leur est infligé. Et la folie destructrice des hommes ne s’arrête pas là : ils détruisent sournoisement les dispositions juridiques qui embarrasse la volonté de profit ; ils ont même commencé de brûler les preuves de l’écocide en marche.
Les abeilles peuvent encore témoigner… Une toute récente étude s’alarme de la comparaison des capacités de pollinisations des abeilles domestiques (Apis mellifera) et des surfaces agricoles européennes (1).Près de 13,4 millions de colonies d’abeilles manqueraient pour assurer une pollinisation optimale des cultures des 41 pays observés. Entre 2005 et 2010 , les besoins en pollinisation ont augmenté cinq fois plus rapidement que le nombre de colonies d’abeilles. Cet écart considérable serait en large partie dû à la forte progression des surfaces de cultures oléagineuses, comme le colza et le tournesol, liée à la politique européenne de développement des agro-carburants. Les pays où le déficit est le plus grand sont la Moldavie, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et l’Italie. Les scientifiques mettent en exergue le fait que désormais l’agriculture européenne est de plus en plus tributaire d’autres types de pollinisateurs tels les abeilles sauvages, les bourdons, les syrphes… Ils soulignent qu’aucune réelle politique, aussi bien agricole qu’environnementale, n’est mis en œuvre pour assurer la protection de ces pollinisateurs dits sauvages. Le Professeur Simon Potts, qui a mené l’étude, a déclaré : « Nous allons vers une catastrophe. »
Les choses ne vont pas s’arranger. Le 14 juin 2013, la Commission européenne a reçu mandat de l’ensemble des États membres afin de négocier avec les États-Unis le Le Grand Marché Transatlantique (GMT). Cet accord aura pour but d’instaurer un vaste marché de libre-échange, allant au-delà des accords de l’OMC. Ce projet, négocié en toute absence de transparence, vise le démantèlement des droits de douane restants, entre autres dans le secteur agricole, et plus grave encore, la suppression des "barrières non tarifaires". Ceci ne pourrait qu’amplifier la concurrence débridée et empêcherait la relocalisation des activités économiques. Il conduirait à un nivellement par le bas des règles sociales, économiques, sanitaires, culturelles et environnementales, aussi bien en Europe qu’aux États-Unis, par l’extension territoriale du droit américain si peu protecteur. Un exemple ? Au début de cette année, la Cour suprême des États-Unis a de nouveau donné raison à Monsanto en refusant de se saisir de la plainte d’un groupement d’agriculteurs bio. La haute Cour, qui s’était déjà rangée du côté de Monsanto en mai 2013, a rejeté, sans commentaire, la requête de dizaines de fermiers pratiquant la culture bio et conventionnelle ainsi que des producteurs de semences organiques, qui réclamaient que le groupe américain s’engage à ne pas poursuivre les propriétaires des cultures de soja, coton, maïs, qui auraient été contaminées par ses semences transgéniques acheminés par les vents ou les pluies. Comment la biodiversité pourrait-elle survivre à un tel obscurantisme ?
Le Canada, qui préfère se voiler la face, pourrait devenir un exemple. Divers chercheurs disent y avoir assisté ces derniers mois à la perte d’un patrimoine scientifique inestimable. Décidé à démanteler, pour des raisons budgétaires, plusieurs bibliothèques scientifiques, le gouvernement canadien est accusé d’avoir dispersé ou mis au pilon des documents rares, certains irremplaçables pour la recherche en sciences de l’environnement. On assiste également à des fermetures de laboratoires, à des suppressions de programmes scientifiques touchant le climat, la sécurité sanitaire, la qualité de l’eau, la surveillance du secteur pétrolier, etc. Pêches et océans Canada, l’agence fédérale chargée des affaires maritimes, a décidée en avril dernier la fermeture de sept de ses onze bibliothèques scientifiques. L’argument budgétaire ne parvient pas à convaincre la communauté scientifique. Le biologiste Daniel Pauly, professeur à l’université de Colombie Britannique, qui est aussi une autorité mondiale en gestion des ressources marines, ne décolère pas : « Stephen Harper a fondé toute sa politique économique sur les sables bitumineux de l’Alberta, dont l’exploitation est désastreuse pour l’environnement : le gouvernement n’a d’autre choix que mentir pour cacher ce désastre. Par exemple, pour éviter que des découvertes gênantes ne soient faites sur l’exploitation des hydrocarbures, on ferme les laboratoires d’éco-toxicologie. Cela fonctionne désormais comme cela au Canada et c’est extrêmement grave. Nous dérivons vers une pétro-dictature (2). » Comme nous aimerions le détromper à l’heure où les pétroliers convoitent le sous-sol européen !
Yann Fiévet

Hommage à Pete Seeger....

Si j’avais un marteau : Réflexions autour d’une célèbre chanson

En hommage à Pete Seeger, qui vient de nous quitter à l’âge de 94 ans, nous republions ce texte d’hommage, publié ici même il y a sept ans, où il est question de Pete Seeger bien sûr mais aussi de Claude François, de Paul Robeson, du Mac Carthysme et de la « Guerre au Terrorisme »... (LMSI)
La chanson avait frappé mon oreille au moment même où j’entrais dans la Fête de l’Humanité. Elle animait l’une des attractions foraines par lesquelles les visiteurs étaient accueillis.
Dans une autre vie, lorsque je militais au parti communiste, je n’aurais pas manqué une Fête de l’Huma. À plus d’une reprise, j’y étais arrivé à l’avance, pour aider à monter le stand de ma fédération… A cette époque, il n’y avait pas de stands « commerciaux » sur la fête – ou bien ils n’étaient pas si voyants. Il n’y avait que les stands militants, que des femmes et des hommes bénévoles animaient pour financer l’activité de leur organisation, et aussi pour l’y renforcer, là, sur place. Mais peu importe à présent.
Ce n’est pas d’abord à cela que je pensais en entendant Claude François sautiller :
« Si j’avais un marteau (oh, ho !) ».

Ce vendredi soir à Die : TERRE DE L'AUBE par Martin Ferron & Odyssée (Tournée Québec - Europe 2014...)

"Un spectacle de grande qualité … À découvrir ! Salle Polyvalente de Die 26150  à 20h 30... Ce vendredi 31 janvier 2014  (Il n'y a pas de neige sur les routes)
Un événement musical et vidéo, primé au titre de la Francophonie."
- NELLY SORBIER, Radio France Bleu  
 Écoutez le podcast ici


" Ferron ose un regard artistique sur un thème brûlant d'actualité. Résultat, une réflexion sociale enrobée d'émotions. Une réussite".
- ALINE CARRUPT, Le Nouvelliste (Suisse)  

"J'ai été émue, comme si cette oeuvre m'était racontée personnellement ; principe d'identification. (...) chansons de haut vol et récit captivant".
- MARIE TRUDEAU, Radio - Canada

"Un spectacle assurément innovant et sans précédent"
- GEORGES AUBRY, Le Dauphiné Libéré (France)    

"Un spectacle magnifique. Parce que là-dessus il y a les chansons de Martin Ferron. Avec des chansons qui comme les dessins parlent à l'âme... Ce qui, pardi,
n'existe pas dans tous les concerts, non ? Seuls les grands jouent dans cette cour là et vendredi soir nous en avions un sous la main...
- PIERRE CHAUTARD, St-Rambert webdo     
Lisez l'article ici


"Ce roman graphique musical est une évasion poétique totale, mais permet surtout une prise de conscience. Magie et dure réalité ont bercé cette soirée pleine d’émotions."
Le Dauphiné Libéré (Isle d’Abeau)
 

« Le grand public peut apprécier les chansons et les dessins mais, en même temps, retrouver des questionnements fondamentaux sur leur vie personnelle et sur le monde. »
- STÉPHANE BAILLARGEON, Journal Le Devoir (Québec)

mercredi 29 janvier 2014

Rencontres Citoyennes Rhône-Alpes 2014

XIIe RENCONTRES ECOLOGIE AU QUOTIDIEN
Mercredi 29 janvier 2014  JEUX ET ENJEUX
 
Die Salle Beauvoisin
10h Film-Echanges  La Magie des Haies
Les haies ont une importance capitale dans le paysage Importance capitale des haies: biodiversité, protection des cultures, des animaux, des nappes phréatiques…
Jérôme Munoz, pépiniériste-Die
Die Salle Polyvalente  10h Impression numérique en 3DDémonstration de fabrication d’objets  en 3D : autonomie, obsolescence programmée, émancipation citoyenne et réduction des déchets.
Association machins-machines
Die Salle Polyvalente 10h Atelier d'échanges autour du jeu et espace jeux petite enfance 
Espace de discussion pour les parents et les professionnels.
Espace de jeu pour les jeunes enfants. (Gratuit)
Ludambule (05), Coop'aire de jeux (26), ludothèques itinérantes
Die11h   Marché de Die
Animation autour d’un verre de l’amitié
Rendre la parole aux habitantes et habitants
Porteurs de paroles « Quelles actions pour la Biodiversité?» 
Die Salle Polyvalente14h  Tous en jeux, petits et grands : moments intergénérationnels
Espace de jeux pour tous : (re)découvrir le jeu comme créateur de lien, vecteur de plaisir et outil de rencontre entre les générations.(gratuit)
Coop'aire de jeux (26), la Marche Enjouée (26), la Boîte à Jouer (26), Ludambule (05), OoQelGO et Co (07)
16h Goûter offert 
Die Salle Beauvoisin
14h Microcentrale de Romeyer-Die
Les collectivités vont construire une microcentrale sur l'adduction d'eau potable entre la source de Raïs sur Romeyer et le réservoir de Die. Un exemple de coopération, autonomie énergétique, innovation économique et préservation de l’Environnement.
Raymond Biglia, Maire de Romeyer - Laurent Cluzel, responsable Service Eau, Die - StéphaneChristophe, directeur des services de la Commune de Die 
Locaux Loco – Rue de l’Armellerie
DieSalle Polyvalente 14hAtelier Fabriquer des pâtés végétaux
Pour diminuer la consommation de viande et de produits laitiers, fabriquer différents pâtés végétaux. avec quelques ingrédients de base.
Daniel  Cauchy
La Roche sur Grâne - Les Amanins
14hCiné-rencontre autour du film « Quels enfants laisserons-nous à la planète » d’Anne Barth.
15h Atelier-échange «Comment être co-éducateur pour faire le lien entre l’école et la maison».
Isabelle Peloux- Directrice de l'école du Colibri
Die Salle Polyvalente 16h Autour du livre «Bonhomme Papier»
Aprés l’histoire de ‘Bonhomme Papier’, atelier et démonstration de collage (dès 5 ans).
 Marie Pouillaude, écrivain- Ghislain Papin, conteur
Die Salle Polyvalente17h Evolutions de l’Apiculture 
Confronté à la pression d’un environnement défavorable aux abeilles, à l’emploi massif d’insecticides, de pratiques agricoles productivistes, l’apiculteur doit adapter ses pratiques.
Gilles Fert - Apiculteur professionnel, Consultant international en élevage, éleveur de reines
Résonance Locale :Apiculteurs :Cécile Lanio,Bernard Sellier, LesChardons Bleus de Beaufort de Gervanne
Die Salle Beauvoisin
17h Esprit de compétition ou/et de coopération ?
Des professionnels du jeu partagent leurs expériences. Un Espace jeux sera dédié aux enfants.
Association Les Rencontres Ludiques, Rhône-Alpes - Boris Courtot, Archi Jeux de Crest-Dominique Dumeste, Ludambule (05)
Die  Salle Polyvalente 20h30  Extinction des Espèces
Pour la première fois, une espèce seule est capable d’en faire disparaître beaucoup d’autres avec une redoutable efficacité. 26280 espèces animales ou de plantes disparaissent chaque année du fait du réchauffement climatique, de la pollution, des activités humaines et de l’urbanisation.
Gilbert Cochet, agrégé d'université, géologue et naturaliste Résonance Locale : Marion Hayot, chargée de mission réseau FRENE et REFORA (Réseau Écologique Forestier Rhône-Alpes)
 

Le monde en guerre perpétuelle...

Les États-Unis mènent secrètement leur guerre dans 134 pays

Leurs opérations se passent dans le sud-ouest asiatique, dans la lumière verte des éclairages de nuit et ils déambulent dans les jungles sud américaines. Ils tirent des hommes de leur demeure au Maghreb et font le coup de feu avec des militants lourdement armés dans la Corne de l’Afrique. Ils goûtent aux embruns en navigant sur les vagues de la mer des Caraïbes jusqu’au Pacifique. Ils poursuivent leurs missions dans la chaleur accablante du Moyen Orient ou dans le froid intense de la Scandinavie. L’administration Obama mène une guerre secrète partout sur la planète et son ampleur n’a encore jamais été complètement révélée.
Depuis le 11 septembre 2001, les opérations des Forces spéciales américaines, (US Special Operations forces) ont augmenté en nombre et leurs budgets ont suivi. Mais l’augmentation de leurs déploiements sur la planète est l’aspect le plus intéressant. Leur présence dans presque 70% des pays sur terre nous donne des preuves de l’ampleur de cette guerre secrète qui s’étend de l’Amérique latine aux confins de l’Afghanistan avec des missions d’entrainement dans des pays alliés en Afrique et des opérations d’information lancées dans le cyberespace.

Ces traités qui nous trahissent...

Ces merveilleux traités qui transfèrent le pouvoir des Etats aux multinationales


Alors que la Commission européenne poursuit en secret la négociation du traité transatlantique, dit Tafta, avec les Etats-Unis, il est utile d’examiner ce à quoi a servi le traité qui lui sert de modèle : l’Alena, entre les Etats-Unis, le Canada, et le Mexique. Le bilan est simple : il donne des pouvoirs exorbitants aux grandes entreprises. Vingt ans après son entrée en vigueur, beaucoup a déjà été écrit sur les effets désastreux pour les travailleurs et les agriculteurs du Mexique, des États-Unis et du Canada, de l’accord de libre échange nord américain (Alena, en anglais NAFTA).
Mais l’Alena a également réécrit les règles de l’investissement international, et cela pourrait se révéler son legs le plus insidieux.
Les règles d’investissement de l’Alena étaient ostensiblement conçues pour donner aux investisseurs américains ou canadiens un moyen de régler les conflits avec le gouvernement du Mexique : les auteurs du pacte faisaient valoir que le système juridique mexicain était inefficace et corrompu. La série de procès qui ont ensuite été intentés contre le Mexique et le Canada, en s’appuyant sur l’Alena, montre que le processus de règlement des différends relatifs aux investissements prévu par cet accord est un outil aux services des grandes entreprises pour faire chanter les États et empêcher des politiques sociales et respectueuses de l’environnement.
Une modification des règles au profit des multinationales
Le chapitre 11 de l’Alena a non seulement déréglementé la circulation des capitaux et facilité la délocalisation de la production à travers les frontières, mais il a également inclus un système de « règlement des différends » entre investisseur privé et État (Investor-State Dispute Settlement, ISDS, AGCS en français : http://unctad.org/en/PublicationsLi...).
Cet arbitrage commercial international permet aux multinationales de contourner les tribunaux classiques respectueux de la souveraineté des États et de leurs droits nationaux, notamment sur la protection de l’environnement. Ce système permet aux multinationales d’appliquer directement des « protections » en vertu du contrat, en fait des normes minimales de traitement et l’interdiction de l’expropriation « indirecte » des investissements existants ou futurs.
Les recours selon l’AGCS sont des plaintes d’investisseurs nord-américains d’un pays contre une décision, la politique, le droit, la réglementation qui selon l’investisseur aurait violé les dispositions de l’Alena en matière de protection des investissements.
Par exemple, si un gouvernement met en œuvre une réglementation du travail ou de l’environnement qu’une multinationale n’aime pas, même si le règlement est légal et appliqué à toutes les entreprises qui travaillent dans le pays, cette société peut néanmoins poursuivre en dommages-intérêts ce pays à la Banque mondiale (Centre international de la Banque mondiale pour le règlement des différends relatifs aux investissements, dit Cirdi ou, en anglais, Icsid : https://icsid.worldbank.org/ICSID/I...).
Le Canada et le Mexique ont été jusqu’à présent les plus grands perdants dans ce schéma. (Voir les poursuites contre le Canada : http://www.international.gc.ca/trad...) Le gouvernement américain a fait face lui-même à plusieurs poursuites selon le chapitre 11, mais n’a jamais perdu un procès. Les trois pays ont dû payer des sommes énormes en frais juridiques, ou en honoraires versés à des tribunaux d’arbitrage.
Dans tous les cas, les perdants sont les citoyens ordinaires, parce que l’argent pour apaiser les sociétés et payer ces dépenses provient du trésor public. Et désormais les décideurs politiques devront y réfléchir à deux fois avant de passer une loi pour protéger le public contre les excès de l’entreprise.
Un modèle mondial paralysant
Le chapitre 11 de l’Alena a servi de modèle à plus de 3000 traités bilatéraux d’investissement qui sont en vigueur aujourd’hui. Le nombre de litiges d’investisseurs contre des Etats est en plein essor. 500 litiges sociaux contre les décisions de gouvernements sont en cours et les sociétés découvrent constamment de nouveaux moyens d’utiliser l’AGCS pour extraire d’énormes sommes des trésors publics sans même avoir à faire d’investissement tangible.
Ces règles ont un effet paralysant sur les gouvernements. La simple menace d’un procès d’investissement peut suffire à décourager un état de passer une nouvelle loi d’intérêt public qui pourrait interférer avec les bénéfices attendus d’une société.
L’effet sur le développement est également prononcé, puisque le principe du « traitement national » oblige les Etats à traiter de la même façon toutes les entreprises sur son territoire : cela contraint les gouvernements à aider les entreprises multinationales, alors qu’ils pourraient préférer ne soutenir que les petites et moyennes entreprises locales.
Ses promoteurs appellent cela « niveler le terrain de jeu », mais la réalité est que l’Alena a créé un ensemble de règles qui favorisent les investisseurs multinationaux sans rien leur demander en retour. On a interdit par exemple la possibilité d’exiger d’une entreprise multinationale qu’elle s’engage à fonctionner dans le pays pendant une certaine période de temps, ou se fournisse localement pour une partie de ses besoins.
À bien des égards, l’Alena est plus une prise de pouvoir des entreprises qu’un accord commercial, et ce n’est nulle part plus évident que dans son chapitre sur l’investissement. L’Alena et autres traités semblables accordent aux sociétés transnationales une totale liberté de mouvement des capitaux, de biens et de services, associée à la capacité de poursuivre devant des tribunaux secrets les pays où les gouvernements tentent de leur faire obstacle.
L’échec de ce modèle monolithique est occulté par la promotion qu’en font les trois pays de l’Alena, mais cet échec est de plus en plus évident pour le nombre croissant de personnes qui contestent l’extension des règles commerciales des entreprises grâce à des accords de libre-échange et d’investissement transpacifiques et transatlantiques.
Le résultat de cette nouvelle lutte est incertaine. Avec courage et persévérance, nous pouvons un jour être en mesure de faire reculer l’héritage de l’Alena et d’introduire de nouveaux modes de négociation et d’investissement qui aient pour objectif premier la santé et du bien-être des gens sur notre planète.
Jusque-là, nous sommes coincés avec un modèle qui met les entreprises en premier et donne aux tribunaux secrets le dernier mot.   
Manuel Perez-Rocha et Stuart Trew
Source : Foreign Policy in Focus (http://fpif.org/nafta-20-model-corp...), traduction par Elisabeth Schneiter pour Reporterre.

mardi 28 janvier 2014

Rencontres Citoyennes de Die et de la Vallée de la Drôme ( J+7)... )

XIIe RENCONTRES ECOLOGIE AU QUOTIDIEN

Mardi 28  janvier 2014 ECONOMIE HUMAINE
-Die
Palais Social- Place de l’Evêché
10hAtelier Découverte :Votre bébé a tant à dire !
Découvrez la langue des signes pour bébés, un moyen de communication efficace avant ses premiers mots.
Sylvaine Mauplot, Signes & marMots
-Die Hall de la Salle polyvalente  
10h Initiation à la Cuisine des Epices
Présentation des épices. Comment les mettre en valeur. Et préparation de quelques plats.
Sophie-Do Baugier, auteure de «la cuisine des épices»
-Die Salle polyvalente10h Film : Permaculture de Montagne de Sepp Holzer
Un usage du relief et des stockages d'eau pour produire la biodiversité végétale et animale chez des permaculteurs pionniers.
Yves Willaert, formateur jardins partagés
Résonance Locale : Didier Cattoz, paysan Saint Dizier en Diois
-Die Salle Beauvoisin
10h Débat Comprendre la réforme territoriale
Une réforme des collectivités modifie les périmètres, la parité, la représentation du monde rural.
Bernard Dupont, ex-secrétaire Sous-préfecture de Die
-Die Salle Beauvoisin
14h La Biodiversité des zones humides
Les marais sont les conservateurs de notre passé naturel et culturel depuis la dernière période glaciaire.
Jean Claude Rouchouse, éthologue, La Pêche Pétillante
-Die Salle polyvalente14h Conférence /débat :Nos Biens Communs
Comment la société civile va-t-elle se réapproprier des ressources naturelles vitales et des ressources de la connaissance.
Pierre Thomé, auteur de «Créateurs d’utopies»
-DieSalle Beauvoisin
17h Le Vautour gypaète barbu
Dans les Alpes, le nombre de couples reproducteurs est encore très faible. Cette population et a été réintroduite à Trechenu-Creyers dans le Diois.
Benoît Betton, Parc Naturel Régional du Vercors
-Die Salle polyvalente 17hGens des territoires de poésie souveraine-Vercors 
Poésie qui retrouve de sa souveraineté en laissant découvrir de vastes territoires oubliés, renouvelés.
Lectures :  Giono par Michel Ferber.  Montagne de poésie d'ici et d'ailleurs par  Claude Guitton. Fables d'un berger du Jocou par Patrice Marie. Projections art, nature et essais de Cédric Rouzé. La Louve par Elisabeth Chabuel, poète
-20h30 Salle polyvalente Sortir duKrach Economique
Comment dire la gravité de la crise ? Comment, aussi, reconstruire l'espoir ? Le chômage et l'accroissement des inégalités sont la cause fondamentale de la crise et non les conséquences. Non, la croissance ne reviendra pas et il est vital d'inventer très vite un nouveau modèle de développement. Pour éviter que l'Histoire ne se répète.
Pierre Larrouturou, ingénieur agronome, l’un des rares économistes à avoir annoncé la crise financière - Geneviève Ancel,administratrice territoriale chargée du Développement Durable au Grand Lyon, Coordinatrice des Dialogues en Humanité
-Salle polyvalente Suivi de Biodanza avec María-del-Alba Velasquez
Une invitation à partager la Danse de la Vie !

La croisière s' amuse...

La croisière s’amuse à Davos

Depuis hier, les super-riches se retrouvent pour leur raout annuel à Davos. Environ 2500 participants, dont 1500 «leaders» économiques et 300 personnalités publiques sont gardés par 3000 soldats, histoire d’éviter qu’un malotru ne raie la carrosserie de leur BMW.
Cette année, nos «global leaders» ont découvert la crise climatique. Et la pauvreté. Ou plutôt le danger de la montée des inégalités. Il est vrai que cela finissait par se voir. La fortune des 1% les plus riches de l’humanité s’élève à 110 000 milliards de dollars1. Et 1% des Etasuniens les plus fortunés ont capté 95% des richesses produites après la crise financière2. Et les autres? Ils sont devenus plus pauvres.
Quoi, les patrons auraient été touchés par la grâce et le dogme de la conversion des puissants pourrait enfin déployer sa pleine mesure? Qu’on se rassure: le drapeau rouge (ou pirate) ne flotte pas encore sur la station huppée. Il y a encore trop de règlements, les Etats traînent une dette trop lourde et si la NSA a espionné à peu près l’entier de la planète, depuis la ménagère de moins de 50 ans jusqu’au portable d’Angela Merkel, ce n’est pas une raison pour exprimer une telle méfiance face aux nouvelles technologies qui ne veulent que votre bien.
La secte séculière qui révère les marchés n’est pas une solution mais bien le problème. Le capitalisme est empêtré dans une crise structurelle. Et la crise climatique pose tout simplement la question de la survie de pans entiers de l’humanité.
Les réponses ne peuvent être qu’à la hauteur des défis. Là où la fine équipe de Davos scrute l’horizon enneigé à la recherche d’une croissance essoufflée, il faut opposer un autre monde possible. Oui, les richesses doivent être partagées et la question de la propriété et du contrôle des moyens de production posée. Oui, on peut consommer moins, mais mieux. Oui, il est des besoins prioritaires comme la santé, l’éducation, l’accès à la culture; et des choses plus futiles.
La question est bien d’arrêter des priorités de manière démocratique et de les implémenter. Lorsque dans cinquante ans un historien analysera la crise financière de ce début de siècle, il se posera benoîtement la question de savoir pourquoi l’Europe n’a pas su à cette occasion faire preuve de solidarité interne et venir au secours des pays en difficulté plutôt que de leur imposer une purge en les insultant et en les traitant de feignants. On tentera d’expliquer, mais on aura de la peine à comprendre.
Philippe Bach 
1 Selon une étude d’Oxfam. Voir Le Courrier de mardi.
2 Le Monde du 22 janvier.

Evasion fiscale française vers la Suisse...

Des noms livrés à l’opinion

EVASION FISCALE : Une liste de noms de personnalités françaises ­soupçonnées d’avoir un compte en Suisse a été publiée par «Le Monde».

Aucun tumulte médiatique, ni même de réactions politiques. L’émoi peut encore venir, mais hier il n’a pas vraiment été suscité par les révélations du journal «Le Monde». Dans son édition du jour, le quotidien français a livré des noms de personnalités soupçonnées de détenir un compte bancaire non déclaré à l’étranger. En l’occurrence au sein de la filiale suisse de la banque HSBC.
Ces noms sont issus du dossier Falciani. Le Franco-Italien Hervé Falciani était informaticien dans cette banque, avant de fuir la Suisse en emportant avec lui les fichiers reprenant les données de milliers d’évadés ­fiscaux présumés. Entré en contact avec le fisc français à la fin 2008, il dispose désormais, dans l’Hexagone, du statut de témoin protégé. Ses fichiers recensent 2846 résidents fiscaux français. C’est la fameuse liste qu’Eric Woerth, alors ministre du Budget de Nicolas Sarkozy, avait brandie en 2009 à un JT de 20 heures.
Une liste fourre-tout
«Aucun élément ne permet de penser que les fichiers auraient été manipulés pour être falsifiés», dixit, dans «Le Monde», le procureur de Paris. La méfiance semble toutefois de mise dans un pays que fit trembler, il y a moins de dix ans, un retentissant scandale politico-financier basé… sur des listings bancaires trafiqués (la mémorable affaire Clearstream).
Les personnalités citées par «Le Monde» n’ont pas toutes le même statut. Ainsi, un romancier millionnaire, un champion de foot de 1998, une ex-vedette du tennis, un humoriste, un célèbre lunetier et un ex-dirigeant… du «Monde» pourraient figurer par erreur dans ces listes. Car ils jurent soit qu’ils n’ont jamais détenu de compte, soit que celui-ci a été dûment déclaré au fisc français et est donc parfaitement légal.
En outre, comme l’écrit le journal lui-même, nombre de «contribuables pris en défaut ont déjà régularisé leur situation». Le cinéaste Cédric Klapisch, par exemple. Ou le psychanalyste de télé Gérard Miller, l’avocat Michel Tubiana, l’ex-No 1 de la communauté juive Richard Prasquier.
D’autres personnalités pourraient être gênées davantage par les révélations, comme le cuisinier Paul Bocuse et des individus que le journal n’identifie pas clairement, sans expliquer pourquoi: «Deux monstres sacrés du cinéma français, un humoriste star, une vedette de la chanson, une ancienne Miss France» et un sénateur UDI (parti centriste allié à l’UMP sarkozyste).
Premières condamnations
Hervé Falciani avait évoqué la présence, dans ses fichiers, de «personnalités politiques exposées». Après avoir traîné les pieds pendant quatre ans, la justice française s’active enfin sur ses données. Plusieurs instructions judiciaires sont en cours.
A la mi-décembre, d’ailleurs, une première procédure basée sur les fichiers Falciani a abouti. Le Tribunal correctionnel de Paris a condamné à huit et dix mois de prison avec sursis deux particuliers (inconnus du grand public), pour détention de comptes non déclarés chez HSBC-Suisse.
Différend d’UBS
Ce dossier ne doit pas être confondu avec celui basé sur une liste de 353 évadés fiscaux présumés. Celle-ci émane d’un ex-cadre de l’établissement financier suisse Reyl & Cie, Pierre Condamin-Gerbier. Il a permis aux juges français d’établir le lien entre les banques suisses UBS et Reyl et l’ex-ministre Jérôme Cahuzac, déchu en 2013 pour détention de comptes bancaires non déclarés. Une affaire qui a donné lieu à la mise en examen de la filiale française d’UBS ainsi que du banquier François Reyl – contre lequel un mandat d’arrêt a été délivré.
Bernard Delattre

lundi 27 janvier 2014

Rencontres Citoyennes de Die et dela Vallée de la Drôme...

XIIe RENCONTRES ECOLOGIE AU QUOTIDIEN
 
Lundi  27 janvier 2014

AGRICULTURE DURABLE

Die
Palais Social-ESCDD-Place de l’Evêché
10hAtelier d’Ecriture : Cultivez la vie !
Venez planter des mots, de toutes les couleurs, et vous verrez la diversité…
Michèle Geoffroy,écrivain public, animatrice d’ateliers d’écriture.
Die Salle Fond Giraude
10h Atelier Naissance
Pour se déposer, se mettre en mouvement, se relaxer. Prendre un temps entre femmes portant la vie.
Aurélie Vuinée, accompagnement périnatal
Die Salle Beauvoisin
10h Consensus sans Compromis
Comment trouver consensus au sein d'un groupe sans que les individus fassent de compromis sur leurs valeurs.Aleksander Piecuch,  consultant en gouvernance des organisations
Die  Salle Polyvalente10h Film Débat : Une Douce Résistance avec Clarisse Barreau, réalisatrice
Des jeunes paysans ont fait des choix et essayent de leur donner de la réalité mais ce n’est pas sans quelques sacrifices.
Résonance Locale : David Tousseyn, éleveur bovin St Julien en Quint
Die Salle Beauvoisin
14hLe feu dans tous ses états
Le chauffage au bois est écologique, local et autonome, à condition de
comprendre le fonctionnement du feu et l’utilisation depoêle.
Nicolas Buisson, spécialiste en économie d’énergie
Résonance Locale : Air Drôme-Ardèche
Die Salle Polyvalente 14h Table ronde : S’installer en Agriculture
Développer une activité rurale  passe d’abord par un lieu prêt à accueillir le projet. La spéculation foncière rend les prix de la terre inaccessibles…
Hélène Hollard, Cultivons nos Jardins Amap Villefontaine (38)- Claude Bourgeois, Les compagnons de la Terre- SjoerdWartena, Terre de Liens- Jeunes en quête de terres ou en formation au CFPPA de Die
Die Salle Polyvalente17h Films/Conférence/Débat : Humus – Agriculture – Climat
Une solution alternative à l’effet de serre est étudiée: stocker le CO2 en augmentant les teneurs en matière organique dans les sols agricoles.
Tiphaine Chevallier et Martial Bernoux, IRD, (Eco&Sols), expert pour la FAO, spécialiste du carbone du sol
Résonance Locale : Olivier Canivet-Association HUMIC, Jean Marie Verdet, agriculteur
Die  Salle Beauvoisin
17hAndré Gorz, défricheur de l’Ecologie sociale
Restitution de l'oeuvre d’André Gorz, pionnier de l’écologie politique. Des clés de lecture pertinentes de l'évolution du capitalisme contemporain.
Christophe Fourel, auteur de "André Gorz, un penseur pour le XXIème siècle" et avec Alain Caillé "Sortir du capitalisme: le scénario Gorz"
20h30  Salle Polyvalente Quelle biodiversité pour nourrir correctement et durablement la planète ?
A l’opposé de l’industrialisation croissante de l’agriculture, de nombreuses paysanneries du monde ont su développer des systèmes de culture et d’élevage permettant de préserver la biodiversité et la cohabitation durable d’un grand nombre d’espèces, races et variétés.
Marc Dufumier, ingénieur agronome, enseignant-chercheur, chaire d'agriculture à AgroParisTech
Résonance locale : Marianne Camus, Agribiodrôme et des paysans