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mercredi 6 janvier 2010

Die 26150 : Cercle de paroles de femmes

CERCLES DE PAROLES de Femmes à Die.
Depuis longtemps j’ai à cœur de développer des moyens qui nous aident à progresser dans la relation consciente en dépassant nos peurs et nos préjugés.
Mon expérience des cercles de paroles m’a permis de réaliser qu’ils sont le meilleur moyen pour apprendre l’écoute empathique afin de percevoir l’autre tel qu’il ou elle est, et parvenir à une expression de soi authentique.
Les règles de fonctionnement sont garanties par un engagement renouvelé à chaque rencontre par chaque femme, ainsi que par l’intention définie en commun et placée au centre du cercle.
Je peux animer le cercle de paroles tant que cela sera nécessaire pour le confort de toutes, mais je serai avant tout participante.
Mon parcours thérapeutique, ma formation à l’écoute rogérienne exercée dans ma pratique comme assistante sociale puis relaxologue m’ont donné les compétences pour animer le cercle. J’ai également suivi un stage d’accompagnement de femmes avec Monique Grande.
Notre première rencontre aura pour objectif de clarifier les attentes de chaque participante, de définir le fonctionnement du cercle de paroles et d’aborder les obstacles à la confiance mutuelle.
Elle aura lieu le :
mardi 12 janvier à 14h30 au Tchai Walla
Rue Josephe Reynaud
26150 Die
Marie, tél. : 06 81 97 15 81
brianlevin777@yahoo.com
Le cercle dure environ une heure 30.
Pourquoi des cercles de femmes ?
De nombreuses femmes dans le monde se retrouvent entre elles. Cette orientation peut sembler nouvelle mais repose en réalité sur des pratiques anciennes, pendant lesquelles certaines femmes des tribus se réunissaient en cercle au moment de la pleine lune ou de la nouvelle lune pour transmettre aux plus jeunes une connaissance spécifique. Les cercles ont toujours répondu à une quête sacrée dans laquelle la femme puise sa force en se reconnectant à une connaissance inviolable, transmise entre personnes du même sexe. Dans ces âges reculés, ces rites venaient renforcer l’identité féminine et les multiples changements qui jalonnaient les parcours de vie, de la naissance à la mort, s’éclairaient au rythme de célébrations bien distinctes. A cette occasion, les différentes étapes de la vie des femmes étaient ainsi ritualisées. Cet héritage visait non seulement à enraciner la fonction universelle de la femme qui donne la vie, mais également de permettre à celle-ci d’être pleinement reconnue dans sa fonction d’initiatrice, quel que soit son âge et son appartenance.
Pour renouer avec leur âme féminine, les participantes des cercles passent par une étape de femme-tisseuse de liens. Ce désir de rencontrer d’autres femmes semble rétablir le manque d’intimité et de plénitude de leur vie contemporaine. Loin d’appartenir à un quelconque mouvement ou de prôner des revendications, les cercles féminins visent à retrouver le sens d’une conscience plus éveillée, à re dynamiser leur goût à transmettre les valeurs ultimes que sont la sagesse et l’amour.

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