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lundi 15 juillet 2013

Greenpeace occupe la Centrale atomique de Tricastin...



Intrusion de Greenpeace à la centrale du Tricastin : 21 interpellations
9 H 08 : Jean-Vincent Placé, chef de file des sénateurs écologistes, a salué lundi «l’action citoyenne» des militants de Greenpeace, jugeant que cette intrusion met au jour un «risque terroriste». «Je salue leur action citoyenne, je pense que c’est extrêmement important d’alerter les Françaises et les Français», a-t-il déclaré sur Europe 1. Pour lui, «on rentre quelque part dans ces centrales extrêmement dangereuses un peu comme dans une passoire», alors que les autorités assurent que ces installations sont «extrêmement sûres» et qu’il n’y a «pas de problème». «On n’a jamais testé le risque terroriste», a-t-il souligné, jugeant qu’"il y a un risque de ce type-là», a fortiori dans «une des plus vieilles centrales de France (...) qu’il faut à terme fermer». Face à cette «démonstration qu’il y a un problème», quelle est la réaction des autorités? «C’est de dire qu’ils ne sont pas arrivés dans les endroits vitaux», a-t-il encore déploré. Le ministère de l’Intérieur a indiqué que les militants de Greenpeace entrés tôt lundi matin sur le site nucléaire du Tricastin n’avaient «pas pu accéder aux zones sensibles de la centrale». «Bien sûr, ils ne sont pas allés chercher à mettre la tête dans le coeur du réacteur, ils sont très responsables», a conclu l’élu EELV de l’Essonne.
8 H 51 : L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) assure que cette intrusion n'a "pas d'impact sur la sûreté" de la centrale. «Conformément aux procédures, l’ASN a mobilisé son centre national de crise à 7 heures 15», a-t-elle indiqué dans un communiqué. «Pour le moment, l’événement n’a pas eu d’impact sur la sûreté de l’installation», a-t-elle ajouté.
8 H 50 : À 8 heures 45, les gendarmes avaient interpellé 21 militants. Une petite dizaine, «localisés et sous contrôle», étaient toujours sur le site, a indiqué Pierre-Henry Brandet.
8 H 44 : Les ministres Manuel Valls (Intérieur) et Philippe Martin (Écologie) demandent un "rapport d'inspection sur les conditions" de l'intrusion.
8 H 07 : 12 militants de Greenpeace ont été interpellés, sur une vingtaine qui ont pénétré lundi matin sur le site nucléaire, selon un nouveau bilan communiqué par une porte-parole d’EDF. «Il n’y a pas eu de pénétration dans les enceintes de sécurité», a précisé la porte-parole, sans pouvoir préciser le nombre exact des militants demeurant sur le site.
8 H 01 : Les militants «vont faire l’objet d’interpellations, mais dans des conditions optimales de sécurité tant pour les militants que pour les gendarmes, ce qui peut prendre un certain temps», a expliqué Pierre-Henry Brandet. Selon l’Intérieur, les militants, «répartis en trois groupes», «ont été immédiatement détectés». Une cinquantaine de gendarmes sont sur place dont 22 du groupe spécialisé dans la protection des installations nucléaires, le peloton spécialisé de protection de la gendarmerie (PSPG), chargé de lutter contre les intrusions et les actes de malveillance.
7 H 55 : Voici une vidéo faite de la projection (en dessous). 
7 H 48 : Une vingtaine d'autres militants ont été "localisés" et sont "sous contrôle", a ajouté le porte-parole du ministère de l'Intérieur Pierre-Henry Brandet.
7 H 42 : EDF fait état de l'interpellation de 5 des militants de Greenpeace entrés sur le site du Tricastin.
7 H 38 : Les militants n'ont pas accédé aux "zones sensibles" de la centrale, assure le ministère de l'Intérieur.
7 H 16 : Les militants sont entrés sur le site vers 5 heures du matin lundi, et ont déployé une banderole au niveau des réacteurs 1 et 3 où l’on pouvait lire: «Tricastin: accident nucléaire», et «François Hollande: président de la catastrophe ?», selon Isabelle Philippe, chargée de communication de Greenpeace. Vers 7 heures, les militants ont déployé une autre banderole autour du réacteur 1.
6 H 54 : Plusieurs dizaines de militants de Greenpeace ont pénétré dans la centrale du Tricastin tôt lundi matin, montant sur les infrastructures entourant les réacteurs pour y déployer deux banderoles. Les gendarmes de la Drôme ont confirmé la présence des militants lundi vers 6 heures 30, sans pouvoir donner davantage de précisions.
la rédaction du DL (avec AFP) le 15/07/2013 à 06:54 Vu 1805 fois
http://www.ledauphine.com/france-monde/2013/07/15/centrale-du-tricastin-des-dizaines-de-militants-de-greenpeace-sont-a-l-interieur

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