Coordination antinucléaire sud-est
CAN84 / CAN13 / Antinucléaire Gardois
Marseille/Pertuis/Avignon/Arles/Nîmes/Ales
Arrêtons le massacre ! Arrêt, inconditionnel et définitif du nucléaire
Rassemblement samedi 26 mars 2011 à 14h devant le site nucléaire de Marcoule (visiatome) dans le Gard
- La Coordination antinucléaire du sud-est (Paca, Gard, Drôme) appelle la population, les citoyens et travailleurs à un Rassemblement samedi 26 mars à 14h devant le site nucléaire de Marcoule (Gard) pour exiger l’Arrêt Immédiat, inconditionnel et définitif du nucléaire ici dans le sud-est et partout en France et dans le monde ; pour la défense de notre santé et de celles de nos enfants, de la vie même sur la planète Terre, du refus de servir de cobayes à des enragés de la destruction atomique.
- Lieu historique de fabrication de la bombe atomique et du terrible combustible « Mox » au plutonium et uranium fournit par Areva à la centrale nucléaire japonaise en perdition de Fukushima Daiichi au Japon, le site nucléaire de Marcoule contamine toute la région, bien au-delà des villages et villes de Chusclan, Codolet, Bagnols-sur-Cèze, de bordure du Rhône de Montélimar (65 km en amont) à Avignon (30 km en aval).
- Notre région, la plus nucléarisée d’Europe, concentre des installations nucléaires civiles et militaires dans le triangle de la mort de Tricastin, Marcoule et Cadarache, toutes situées sur des failles sismiques,
- 66 ans après la terreur du nucléaire militaire qui s’est abattue sur le Japon à Nagasaki et Hiroshima (6 et 9 août 1945), 32 ans après l'accident du nucléaire civil de niveau 5 de Three Mile Island ( 28 mars 1979) aux USA, 25 ans après la catastrophe du nucléaire civil Tchernobyl en Ukraine (26 avril 1986) : une nouvelle catastrophe nucléaire s'est produite à Okuma au Japon (10 mars 2011) dans un des pays les plus développé et techniciste du monde.
- La sinistre démonstration du lien indissoluble et mortel entre nucléaire civil et militaire se révèle, la démonstration est faite de l’impossibilité technique de maîtriser le principe même de la destruction/fission atomique, au-delà des discours dogmatiques des nucléocrates.
- Le nucléaire civil et militaire a livré et continue de livrer à la mort, aux cancers et leucémies, aux modifications de l’ADN, aux maladies neuronales, aux maladies cardiaques, aux malformations,… des millions d’êtres d’humain, femmes et enfants. Comme le montre cruellement les catastrophes nucléaires à répétition : le nuage radioactif étale ses bras de la mort au delà de toute frontière géographique, nationale, administrative, politique.
- Toute la chaîne nucléaire est un crime contre l'humanité, de l'extraction de l'uranium au Niger où les populations Touareg et sédentaires sont victimes de pollutions et contaminations jusqu'aux déchets nucléaires que les nucléocrates veulent enfouir dans les sols et refiler aux générations futures pour des milliers d'années, incapables qu’ils sont depuis 50 ans de gérer l’ingérable.
- Rien qu’en 2010 plus de 1000 incidents ont été recensés en France dans le cycle nucléaire, plus de 200 en Provence ! et cela en fonctionnement quotidien « normal » hors accident ou catastrophe. Engendrant des contaminations régulières à faibles doses de l’eau des rivières et des nappes phréatiques, de l’air que nous respirons, des terres de cultures et de la chaîne alimentaire. Les travailleurs du nucléaires en sont les premières victimes. La contamination est telle que du plutonium (qui n’existe pas à l’état naturel sur terre) a été relevé dans les rizières de Camargue.
- L’ exigence d’un arrêt immédiat du processus de mort doit être entendue jusqu’au Japon, en solidarité avec le peuple et les salariés victimes de la contamination radioactive et de la mort lente ; jusque dans les conseils d’administration d’Areva et d’EDF, principaux pourvoyeurs de la mort nucléaire ; jusque dans les cabinets ministériels et au gouvernement, complices relais des intérêts du lobby militaro-civil ; jusqu’à la présidence de la République, vrp pourvoyeuse de la dissémination nucléaire à travers le monde ; jusqu’aux bourses financières spéculatives de la planète où les intérêts de quelques-uns priment tragiquement sur l’intérêt commun et humain.
- L’arrêt immédiat du nucléaire ne signifie pas la fin de l’emploi dans cette branche. Le démantèlement de chaque installation nucléaire en France fournira du travail à tous les salariés actuels du nucléaire pendant de très nombreuses années et nécessitera la création de nouveaux emplois dans la réouverture temporaire des autres centrales non-nucléaires et le développement des énergies renouvelables et travaux d’économie d’énergie.
- Arrêt Immédiat, inconditionnel et définitif du nucléaire ; pas dans 10 ans, pas dans 20 ans, pas dans 30 ans. Pour notre santé, pour la vie sur la planète, pour l’avenir.
Collectif antinucléaire 84
Collectif antinucléaire 13
Collectif antinucléaire Rodhanien-Gard
CAN84 / CAN13 / Antinucléaire Gardois
Marseille/Pertuis/Avignon/Arles/Nîmes/Ales
Arrêtons le massacre ! Arrêt, inconditionnel et définitif du nucléaire
Rassemblement samedi 26 mars 2011 à 14h devant le site nucléaire de Marcoule (visiatome) dans le Gard
- La Coordination antinucléaire du sud-est (Paca, Gard, Drôme) appelle la population, les citoyens et travailleurs à un Rassemblement samedi 26 mars à 14h devant le site nucléaire de Marcoule (Gard) pour exiger l’Arrêt Immédiat, inconditionnel et définitif du nucléaire ici dans le sud-est et partout en France et dans le monde ; pour la défense de notre santé et de celles de nos enfants, de la vie même sur la planète Terre, du refus de servir de cobayes à des enragés de la destruction atomique.
- Lieu historique de fabrication de la bombe atomique et du terrible combustible « Mox » au plutonium et uranium fournit par Areva à la centrale nucléaire japonaise en perdition de Fukushima Daiichi au Japon, le site nucléaire de Marcoule contamine toute la région, bien au-delà des villages et villes de Chusclan, Codolet, Bagnols-sur-Cèze, de bordure du Rhône de Montélimar (65 km en amont) à Avignon (30 km en aval).
- Notre région, la plus nucléarisée d’Europe, concentre des installations nucléaires civiles et militaires dans le triangle de la mort de Tricastin, Marcoule et Cadarache, toutes situées sur des failles sismiques,
- 66 ans après la terreur du nucléaire militaire qui s’est abattue sur le Japon à Nagasaki et Hiroshima (6 et 9 août 1945), 32 ans après l'accident du nucléaire civil de niveau 5 de Three Mile Island ( 28 mars 1979) aux USA, 25 ans après la catastrophe du nucléaire civil Tchernobyl en Ukraine (26 avril 1986) : une nouvelle catastrophe nucléaire s'est produite à Okuma au Japon (10 mars 2011) dans un des pays les plus développé et techniciste du monde.
- La sinistre démonstration du lien indissoluble et mortel entre nucléaire civil et militaire se révèle, la démonstration est faite de l’impossibilité technique de maîtriser le principe même de la destruction/fission atomique, au-delà des discours dogmatiques des nucléocrates.
- Le nucléaire civil et militaire a livré et continue de livrer à la mort, aux cancers et leucémies, aux modifications de l’ADN, aux maladies neuronales, aux maladies cardiaques, aux malformations,… des millions d’êtres d’humain, femmes et enfants. Comme le montre cruellement les catastrophes nucléaires à répétition : le nuage radioactif étale ses bras de la mort au delà de toute frontière géographique, nationale, administrative, politique.
- Toute la chaîne nucléaire est un crime contre l'humanité, de l'extraction de l'uranium au Niger où les populations Touareg et sédentaires sont victimes de pollutions et contaminations jusqu'aux déchets nucléaires que les nucléocrates veulent enfouir dans les sols et refiler aux générations futures pour des milliers d'années, incapables qu’ils sont depuis 50 ans de gérer l’ingérable.
- Rien qu’en 2010 plus de 1000 incidents ont été recensés en France dans le cycle nucléaire, plus de 200 en Provence ! et cela en fonctionnement quotidien « normal » hors accident ou catastrophe. Engendrant des contaminations régulières à faibles doses de l’eau des rivières et des nappes phréatiques, de l’air que nous respirons, des terres de cultures et de la chaîne alimentaire. Les travailleurs du nucléaires en sont les premières victimes. La contamination est telle que du plutonium (qui n’existe pas à l’état naturel sur terre) a été relevé dans les rizières de Camargue.
- L’ exigence d’un arrêt immédiat du processus de mort doit être entendue jusqu’au Japon, en solidarité avec le peuple et les salariés victimes de la contamination radioactive et de la mort lente ; jusque dans les conseils d’administration d’Areva et d’EDF, principaux pourvoyeurs de la mort nucléaire ; jusque dans les cabinets ministériels et au gouvernement, complices relais des intérêts du lobby militaro-civil ; jusqu’à la présidence de la République, vrp pourvoyeuse de la dissémination nucléaire à travers le monde ; jusqu’aux bourses financières spéculatives de la planète où les intérêts de quelques-uns priment tragiquement sur l’intérêt commun et humain.
- L’arrêt immédiat du nucléaire ne signifie pas la fin de l’emploi dans cette branche. Le démantèlement de chaque installation nucléaire en France fournira du travail à tous les salariés actuels du nucléaire pendant de très nombreuses années et nécessitera la création de nouveaux emplois dans la réouverture temporaire des autres centrales non-nucléaires et le développement des énergies renouvelables et travaux d’économie d’énergie.
- Arrêt Immédiat, inconditionnel et définitif du nucléaire ; pas dans 10 ans, pas dans 20 ans, pas dans 30 ans. Pour notre santé, pour la vie sur la planète, pour l’avenir.
Collectif antinucléaire 84
Collectif antinucléaire 13
Collectif antinucléaire Rodhanien-Gard
Ecologie au Quotidien de Die
Avignon, Arles, Pertuis, Marseille, Die le 22 mars 2011,
Collectif antinucléaire 84 : 06 60 76 04 03 / Collectifantinucleaire84@hotmail.fr
Collectif antinucléaire 13 : 06 82 45 13 89 / Collectif-antinucleaire13@orange.fr
Collectif antinucléaire Rodhanien-Gard : 06 04 41 65 87
Collectif Agir Santé Environnement : labarthe.monique39@orange.fr
www.coordination-antinucleaire-sudest.org
Collectif antinucléaire 84 : 06 60 76 04 03 / Collectifantinucleaire84@hotmail.fr
Collectif antinucléaire 13 : 06 82 45 13 89 / Collectif-antinucleaire13@orange.fr
Collectif antinucléaire Rodhanien-Gard : 06 04 41 65 87
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