« Stop au gaz de Schiste » on en parle au Salon Primevère à Eurexpo - Lyon, les 11, 12 et 13 mars
Information de dernière minute !
Primevère soutient le collectif Stop au gaz de Schiste. Nous invitons en dernière minute le dimanche 13 mars à 15h le collectif ardéchois « Stop au gaz de Schiste » !
Pour redirection - http://primevere.salon.free.fr/ (attendre pour que le descriptif rapide soit visible)
Sur les 120 rencontres, quelques rencontres choisies, en vrac :
Hadopi, Loppsi, censure et filtrage Benjamin Bayart, Président de FDN - French Data Network Conférence (1h30) : dim 13 mars à 15h30, salle blanche
Présentation :
La loi Hadopi, à partir d’une bonne question, celle du mode de rémunération des créateurs à l’ère du numérique, a donné une mauvaise réponse impliquant la criminalisation du partage et la négation de la culture non-marchande. De manière plus globale, elle ne résoud pas le problème de départ. -Pour essayer d’analyser le phénomène, Benjamin Bayart propose de repartir de ce qu’est la culture, du rôle central qu’y jouent le partage et l’échange, pour essayer de comprendre le rôle que joue internet dans tout ça, de mettre l’ensemble en perspective avec la définition du droit d’auteur, avec comme objectif de comprendre les enjeux de cette loi tant décriée.
La loi Hadopi, à partir d’une bonne question, celle du mode de rémunération des créateurs à l’ère du numérique, a donné une mauvaise réponse impliquant la criminalisation du partage et la négation de la culture non-marchande. De manière plus globale, elle ne résoud pas le problème de départ. -Pour essayer d’analyser le phénomène, Benjamin Bayart propose de repartir de ce qu’est la culture, du rôle central qu’y jouent le partage et l’échange, pour essayer de comprendre le rôle que joue internet dans tout ça, de mettre l’ensemble en perspective avec la définition du droit d’auteur, avec comme objectif de comprendre les enjeux de cette loi tant décriée.
L’impact politique et sociétal d’Internet Benjamin Bayart, Président FDN - French Data Network Conférence (1h30) : dim 13 mars à 11h, salle rouge
Présentation :
Dire qu’internet se met à jouer un rôle fort dans le monde moderne relève de la banalité. Une lecture rapide de l’actualité, de la crise iranienne à la révolution Tunisienne en passant par l’affaire WikiLeaks suffit à s’en convaincre. Mais comment comprendre tout ça ? D’où vient l’impact si grand de ce qu’on pourrait prendre, par mégarde, pour un simple loisir ? -Cette conférence, animée par Benjamin Bayart, président du FDN, donnera quelques clefs pour déchiffrer, à partir de la structure de ce qu’est internet, le rôle qu’il jouera nécessairement sur la société, et ceux des impacts qui sont d’ores et déjà lisibles sur la démocratie, la liberté d’expression, la percée de modèles collectifs et acentrés…
Dire qu’internet se met à jouer un rôle fort dans le monde moderne relève de la banalité. Une lecture rapide de l’actualité, de la crise iranienne à la révolution Tunisienne en passant par l’affaire WikiLeaks suffit à s’en convaincre. Mais comment comprendre tout ça ? D’où vient l’impact si grand de ce qu’on pourrait prendre, par mégarde, pour un simple loisir ? -Cette conférence, animée par Benjamin Bayart, président du FDN, donnera quelques clefs pour déchiffrer, à partir de la structure de ce qu’est internet, le rôle qu’il jouera nécessairement sur la société, et ceux des impacts qui sont d’ores et déjà lisibles sur la démocratie, la liberté d’expression, la percée de modèles collectifs et acentrés…
L’histoire de l’alter-écologie Jean-Paul Deléage, professeur honoraire de l’université d’Orléans ; Fabrice Flipo, Maître de conférences en philosophie Conférence (1h30) : sam 12 mars à 14h, salle jaune
Présentation :
Il y a quelques années, le plus gros de l’effort des écologistes était de convaincre de l’existence de la crise écologique. Dès lors que tout le monde se dit écologiste, “vert”, que reste-t-il à faire ? Ne faut-il pas examiner les questions que l’écologie pose au développement, à la modernité, à sa science ? Et si le “développement” pose problème, devons-nous choisir le “sous-développement” comme modèle ?-Le mouvement écologique doit mettre fin au leurre du développement durable En 2009, Nicolas Sarkozy avait affirmé : ce sera Copenhague ou rien. Ce ne fut rien. Un an plus tard, on retient de la conférence de Nagoya qu’elle a promu le slogan Business and Biodiversity. Quant à l’accord de Cancun, il ne contient aucun objectif nouveau. Désignons les responsabilités catastrophiques du marché et ses serviteurs dans les désastres sociaux et écologiques qui affectent la vie sur Terre. Parions sur la créativité et la coopération des forces qui s’opposent aux injonctions du développement, fut-il rebaptisé “durable”. -Jean-Paul Deléage, professeur honoraire de l’université d’Orléans et Fabrice Flipo, maître de conférences en philosophie participeront à ce débat animé et enregistré en public par la Cranc-Ra (Confédération des Radios Associatives Non Commerciales de Rhône-Alpes).
Il y a quelques années, le plus gros de l’effort des écologistes était de convaincre de l’existence de la crise écologique. Dès lors que tout le monde se dit écologiste, “vert”, que reste-t-il à faire ? Ne faut-il pas examiner les questions que l’écologie pose au développement, à la modernité, à sa science ? Et si le “développement” pose problème, devons-nous choisir le “sous-développement” comme modèle ?-Le mouvement écologique doit mettre fin au leurre du développement durable En 2009, Nicolas Sarkozy avait affirmé : ce sera Copenhague ou rien. Ce ne fut rien. Un an plus tard, on retient de la conférence de Nagoya qu’elle a promu le slogan Business and Biodiversity. Quant à l’accord de Cancun, il ne contient aucun objectif nouveau. Désignons les responsabilités catastrophiques du marché et ses serviteurs dans les désastres sociaux et écologiques qui affectent la vie sur Terre. Parions sur la créativité et la coopération des forces qui s’opposent aux injonctions du développement, fut-il rebaptisé “durable”. -Jean-Paul Deléage, professeur honoraire de l’université d’Orléans et Fabrice Flipo, maître de conférences en philosophie participeront à ce débat animé et enregistré en public par la Cranc-Ra (Confédération des Radios Associatives Non Commerciales de Rhône-Alpes).
Solutions locales pour un désordre global Coline Serreau, réalisatrice Film (1h58) : sam 12 mars à 11h30, salle verte
Présentation :
Caméra au poing, Coline Serreau a parcouru le monde pendant près de trois ans à la rencontre de femmes et d’hommes de terrain, penseurs et économistes, qui expérimentent localement, avec succès, des solutions pour panser les plaies d’une terre trop longtemps maltraitée. Ce documentaire porte la voix de Pierre Rabhi, Claude et Lydia Bourguignon, les paysans sans terre du Brésil, Kokopelli en Inde, M. Antoniets en Ukraine… Cette série d’entretiens d’une incroyable concordance montre un autre possible : une réponse concrète aux défis écologiques et plus largement à la crise de civilisation actuelle. Oui, des solutions locales et des alternatives concrètes existent pour un meilleur partage des avoirs et des savoirs.
Caméra au poing, Coline Serreau a parcouru le monde pendant près de trois ans à la rencontre de femmes et d’hommes de terrain, penseurs et économistes, qui expérimentent localement, avec succès, des solutions pour panser les plaies d’une terre trop longtemps maltraitée. Ce documentaire porte la voix de Pierre Rabhi, Claude et Lydia Bourguignon, les paysans sans terre du Brésil, Kokopelli en Inde, M. Antoniets en Ukraine… Cette série d’entretiens d’une incroyable concordance montre un autre possible : une réponse concrète aux défis écologiques et plus largement à la crise de civilisation actuelle. Oui, des solutions locales et des alternatives concrètes existent pour un meilleur partage des avoirs et des savoirs.
Mon cerveau a-t-il un sexe ? Laure Delesalle, réalisatrice Film (52mm) : dim 13 mars à 13h30, salle verte
Présentation :
Face au maintien des clichés sur les différences hommes-femmes, la neurobiologiste Catherine Vidal mène l’enquête et secoue les idées reçues. Garçons et filles, éduqués différemment, peuvent montrer des divergences de fonctionnement cérébral, mais cela ne signifie pas que ces différences soient présentes dans le cerveau depuis la naissance, ni qu’elles y resteront ! De la recherche biologique aux dernières avancées en science humaine, la réalisatrice Laure Delesalle questionne tout ce qui participe à la construction d’une identité sexuelle. Elle replace le débat sur un terrain scientifique rigoureux : anatomie du cerveau, imagerie cérébrale, rôle des chromosomes, des gènes et des hormones ; balayant les domaines de la préhistoire, de l’éducation et de la psychanalyse.
Face au maintien des clichés sur les différences hommes-femmes, la neurobiologiste Catherine Vidal mène l’enquête et secoue les idées reçues. Garçons et filles, éduqués différemment, peuvent montrer des divergences de fonctionnement cérébral, mais cela ne signifie pas que ces différences soient présentes dans le cerveau depuis la naissance, ni qu’elles y resteront ! De la recherche biologique aux dernières avancées en science humaine, la réalisatrice Laure Delesalle questionne tout ce qui participe à la construction d’une identité sexuelle. Elle replace le débat sur un terrain scientifique rigoureux : anatomie du cerveau, imagerie cérébrale, rôle des chromosomes, des gènes et des hormones ; balayant les domaines de la préhistoire, de l’éducation et de la psychanalyse.
Un nouvel art de militer Sébastien Porte, journaliste Conférence (1h30) : sam 12 mars à 15h, salle violette
Présentation :
Colorée, festive, humoristique, théâtralisée, l’action directe non-violente est au cœur des luttes écologistes. L’environnement est à la fois le terrain d’expression et la revendication de militants tels que Faucheurs volontaires, Déboulonneurs, Vélorutionnaires et autres adeptes de la Guérilla gardening, dont les modes opératoires s’inscrivent dans une tradition d’inspiration largement libertaire. Mais quelle est l’efficacité réelle de ces collectifs ? Leur message n’est-il pas brouillé par la prééminence donnée à l’action ? Sont-ils porteurs d’un nouveau vent de révolte, ou bien ne jouent-ils rien d’autre qu’une partition de plus dans la musique ambiante de l’écologiquement correct ?-Des questions à débattre avec le journaliste Sébastien Porte, auteur avec Cyril Cavalié (photographies) de “Un nouvel art de militer” aux éditions Alternatives.
Colorée, festive, humoristique, théâtralisée, l’action directe non-violente est au cœur des luttes écologistes. L’environnement est à la fois le terrain d’expression et la revendication de militants tels que Faucheurs volontaires, Déboulonneurs, Vélorutionnaires et autres adeptes de la Guérilla gardening, dont les modes opératoires s’inscrivent dans une tradition d’inspiration largement libertaire. Mais quelle est l’efficacité réelle de ces collectifs ? Leur message n’est-il pas brouillé par la prééminence donnée à l’action ? Sont-ils porteurs d’un nouveau vent de révolte, ou bien ne jouent-ils rien d’autre qu’une partition de plus dans la musique ambiante de l’écologiquement correct ?-Des questions à débattre avec le journaliste Sébastien Porte, auteur avec Cyril Cavalié (photographies) de “Un nouvel art de militer” aux éditions Alternatives.
Découvrir et expérimenter la sociocratie Françoise Keller et Pierre Tavernier, consultants et membres fondateurs du centre français de Sociocratie Atelier (1h30) : sam 12 mars à 14h, salle bleue
Présentation :
La sociocratie propose un modèle d’organisation qui reconnaît le pouvoir de l’intelligence collective, celui-là même qui surgit de la concertation de personnes engagées autour d’un but commun. Elle est particulièrement adaptée aux projets qui ont une dimension éthique, humaniste, écologique, où elle améliore la communication et la prise de décision. Elle institue des lieux de parole qui encouragent une communication authentique et créatrice. Elle tonifie la structure d’exécution, recadre et valorise le rôle du leader. Elle encourage le comportement responsable de chacun.-L’atelier sera animé par Françoise Keller et Pierre Tavernier, consultants et membres fondateurs du centre français de sociocratie. Il permettra d’expérimenter un fonctionnement sociocratique et de voir comment ce processus peut être au service des projets des participants.-
La sociocratie propose un modèle d’organisation qui reconnaît le pouvoir de l’intelligence collective, celui-là même qui surgit de la concertation de personnes engagées autour d’un but commun. Elle est particulièrement adaptée aux projets qui ont une dimension éthique, humaniste, écologique, où elle améliore la communication et la prise de décision. Elle institue des lieux de parole qui encouragent une communication authentique et créatrice. Elle tonifie la structure d’exécution, recadre et valorise le rôle du leader. Elle encourage le comportement responsable de chacun.-L’atelier sera animé par Françoise Keller et Pierre Tavernier, consultants et membres fondateurs du centre français de sociocratie. Il permettra d’expérimenter un fonctionnement sociocratique et de voir comment ce processus peut être au service des projets des participants.-
La discrimination éthnique Compagnie du Pied Levé Atelier (1h30) : sam 12 mars à 16h, salle bleue
Présentation :
Le théâtre-forum a pour objectifs de sensibiliser, puis de questionner et enfin de comprendre ensemble des situations d’oppressions, de violence, de conflits. Il est utilisé comme outil pour une transformation sociale. “Le théâtre peut nous aider à construire notre avenir, au lieu de simplement l’attendre” (Augusto Boal).-Concrètement, des comédiens jouent une première fois sur scène une saynète illustrant une thématique, ici la discrimination ethnique. La saynète parle de réalités qui ne conviennent pas, elle est construite comme une question : comment faire pour changer cela ? Les comédiens jouent une deuxième fois la scène. Dans la salle, pas de spectateurs passifs, mais des acteurs du débat qui peuvent s’ils le souhaitent venir sur scène pour jouer leur point de vue et tenter de faire bouger les choses.
Le théâtre-forum a pour objectifs de sensibiliser, puis de questionner et enfin de comprendre ensemble des situations d’oppressions, de violence, de conflits. Il est utilisé comme outil pour une transformation sociale. “Le théâtre peut nous aider à construire notre avenir, au lieu de simplement l’attendre” (Augusto Boal).-Concrètement, des comédiens jouent une première fois sur scène une saynète illustrant une thématique, ici la discrimination ethnique. La saynète parle de réalités qui ne conviennent pas, elle est construite comme une question : comment faire pour changer cela ? Les comédiens jouent une deuxième fois la scène. Dans la salle, pas de spectateurs passifs, mais des acteurs du débat qui peuvent s’ils le souhaitent venir sur scène pour jouer leur point de vue et tenter de faire bouger les choses.
Devenir dessinateur de BD engagée Karinne Ringuet et Dominique Legeard, Les dessin’acteurs Conférence (1h) : ven 11 mars à 14h, espace BD
Ecologie au Quotidien
DIE, Rhône-Alpes, France
Le Chastel 26150 DIE
Tel : 04 75 21 00 56
Courriel : ecologieauquotidien@gmail.com
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