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jeudi 10 mars 2011

Lyon : Primevère (choisie) cette fin de semaine...


« Stop au gaz de Schiste » on en parle au Salon Primevère à Eurexpo - Lyon, les 11, 12 et 13 mars
Information de dernière minute !
Primevère soutient le collectif Stop au gaz de Schiste. Nous invitons en dernière minute le dimanche 13 mars à 15h le collectif ardéchois « Stop au gaz de Schiste » !
Pour redi­rec­tion - http://pri­me­vere.salon.free.fr/ (atten­dre pour que le des­crip­tif rapide soit visi­ble)
Sur les 120 rencontres, quelques ren­contres choisies, en vrac :
Hadopi, Loppsi, cen­sure et fil­trage Benjamin Bayart, Président de FDN - French Data Network Conférence (1h30) : dim 13 mars à 15h30, salle blan­che
Présentation :
La loi Hadopi, à partir d’une bonne ques­tion, celle du mode de rému­né­ra­tion des créa­teurs à l’ère du numé­ri­que, a donné une mau­vaise réponse impli­quant la cri­mi­na­li­sa­tion du par­tage et la néga­tion de la culture non-mar­chande. De manière plus glo­bale, elle ne résoud pas le pro­blème de départ. -Pour essayer d’ana­ly­ser le phé­no­mène, Benjamin Bayart pro­pose de repar­tir de ce qu’est la culture, du rôle cen­tral qu’y jouent le par­tage et l’échange, pour essayer de com­pren­dre le rôle que joue inter­net dans tout ça, de mettre l’ensem­ble en pers­pec­tive avec la défi­ni­tion du droit d’auteur, avec comme objec­tif de com­pren­dre les enjeux de cette loi tant décriée.
L’impact poli­ti­que et socié­tal d’Internet Benjamin Bayart, Président FDN - French Data Network Conférence (1h30) : dim 13 mars à 11h, salle rouge
Présentation :
Dire qu’inter­net se met à jouer un rôle fort dans le monde moderne relève de la bana­lité. Une lec­ture rapide de l’actua­lité, de la crise ira­nienne à la révo­lu­tion Tunisienne en pas­sant par l’affaire WikiLeaks suffit à s’en convain­cre. Mais com­ment com­pren­dre tout ça ? D’où vient l’impact si grand de ce qu’on pour­rait pren­dre, par mégarde, pour un simple loisir ? -Cette confé­rence, animée par Benjamin Bayart, pré­si­dent du FDN, don­nera quel­ques clefs pour déchif­frer, à partir de la struc­ture de ce qu’est inter­net, le rôle qu’il jouera néces­sai­re­ment sur la société, et ceux des impacts qui sont d’ores et déjà lisi­bles sur la démo­cra­tie, la liberté d’expres­sion, la percée de modè­les col­lec­tifs et acen­trés…
L’his­toire de l’alter-écologie Jean-Paul Deléage, pro­fes­seur hono­raire de l’uni­ver­sité d’Orléans ; Fabrice Flipo, Maître de confé­ren­ces en phi­lo­so­phie Conférence (1h30) : sam 12 mars à 14h, salle jaune
Présentation :
Il y a quel­ques années, le plus gros de l’effort des écologistes était de convain­cre de l’exis­tence de la crise écologique. Dès lors que tout le monde se dit écologiste, “vert”, que reste-t-il à faire ? Ne faut-il pas exa­mi­ner les ques­tions que l’écologie pose au déve­lop­pe­ment, à la moder­nité, à sa science ? Et si le “déve­lop­pe­ment” pose pro­blème, devons-nous choi­sir le “sous-déve­lop­pe­ment” comme modèle ?-Le mou­ve­ment écologique doit mettre fin au leurre du déve­lop­pe­ment dura­ble En 2009, Nicolas Sarkozy avait affirmé : ce sera Copenhague ou rien. Ce ne fut rien. Un an plus tard, on retient de la confé­rence de Nagoya qu’elle a promu le slogan Business and Biodiversity. Quant à l’accord de Cancun, il ne contient aucun objec­tif nou­veau. Désignons les res­pon­sa­bi­li­tés catas­tro­phi­ques du marché et ses ser­vi­teurs dans les désas­tres sociaux et écologiques qui affec­tent la vie sur Terre. Parions sur la créa­ti­vité et la coo­pé­ra­tion des forces qui s’oppo­sent aux injonc­tions du déve­lop­pe­ment, fut-il rebap­tisé “dura­ble”. -Jean-Paul Deléage, pro­fes­seur hono­raire de l’uni­ver­sité d’Orléans et Fabrice Flipo, maître de confé­ren­ces en phi­lo­so­phie par­ti­ci­pe­ront à ce débat animé et enre­gis­tré en public par la Cranc-Ra (Confédération des Radios Associatives Non Commerciales de Rhône-Alpes).
Solutions loca­les pour un désor­dre global Coline Serreau, réa­li­sa­trice Film (1h58) : sam 12 mars à 11h30, salle verte
Présentation :
Caméra au poing, Coline Serreau a par­couru le monde pen­dant près de trois ans à la ren­contre de femmes et d’hommes de ter­rain, pen­seurs et économistes, qui expé­ri­men­tent loca­le­ment, avec succès, des solu­tions pour panser les plaies d’une terre trop long­temps mal­trai­tée. Ce docu­men­taire porte la voix de Pierre Rabhi, Claude et Lydia Bourguignon, les pay­sans sans terre du Brésil, Kokopelli en Inde, M. Antoniets en Ukraine… Cette série d’entre­tiens d’une incroya­ble concor­dance montre un autre pos­si­ble : une réponse concrète aux défis écologiques et plus lar­ge­ment à la crise de civi­li­sa­tion actuelle. Oui, des solu­tions loca­les et des alter­na­ti­ves concrè­tes exis­tent pour un meilleur par­tage des avoirs et des savoirs.
Mon cer­veau a-t-il un sexe ? Laure Delesalle, réa­li­sa­trice Film (52mm) : dim 13 mars à 13h30, salle verte
Présentation :
Face au main­tien des cli­chés sur les dif­fé­ren­ces hommes-femmes, la neu­ro­bio­lo­giste Catherine Vidal mène l’enquête et secoue les idées reçues. Garçons et filles, éduqués dif­fé­rem­ment, peu­vent mon­trer des diver­gen­ces de fonc­tion­ne­ment céré­bral, mais cela ne signi­fie pas que ces dif­fé­ren­ces soient pré­sen­tes dans le cer­veau depuis la nais­sance, ni qu’elles y res­te­ront ! De la recher­che bio­lo­gi­que aux der­niè­res avan­cées en science humaine, la réa­li­sa­trice Laure Delesalle ques­tionne tout ce qui par­ti­cipe à la cons­truc­tion d’une iden­tité sexuelle. Elle replace le débat sur un ter­rain scien­ti­fi­que rigou­reux : ana­to­mie du cer­veau, ima­ge­rie céré­brale, rôle des chro­mo­so­mes, des gènes et des hor­mo­nes ; balayant les domai­nes de la pré­his­toire, de l’éducation et de la psy­cha­na­lyse.
Un nouvel art de mili­ter Sébastien Porte, jour­na­liste Conférence (1h30) : sam 12 mars à 15h, salle vio­lette
Présentation :
Colorée, fes­tive, humo­ris­ti­que, théâ­tra­li­sée, l’action directe non-vio­lente est au cœur des luttes écologistes. L’envi­ron­ne­ment est à la fois le ter­rain d’expres­sion et la reven­di­ca­tion de mili­tants tels que Faucheurs volon­tai­res, Déboulonneurs, Vélorutionnaires et autres adep­tes de la Guérilla gar­de­ning, dont les modes opé­ra­toi­res s’ins­cri­vent dans une tra­di­tion d’ins­pi­ra­tion lar­ge­ment liber­taire. Mais quelle est l’effi­ca­cité réelle de ces col­lec­tifs ? Leur mes­sage n’est-il pas brouillé par la préé­mi­nence donnée à l’action ? Sont-ils por­teurs d’un nou­veau vent de révolte, ou bien ne jouent-ils rien d’autre qu’une par­ti­tion de plus dans la musi­que ambiante de l’écologiquement cor­rect ?-Des ques­tions à débat­tre avec le jour­na­liste Sébastien Porte, auteur avec Cyril Cavalié (pho­to­gra­phies) de “Un nouvel art de mili­ter” aux éditions Alternatives.
Découvrir et expé­ri­men­ter la socio­cra­tie Françoise Keller et Pierre Tavernier, consul­tants et mem­bres fon­da­teurs du centre fran­çais de Sociocratie Atelier (1h30) : sam 12 mars à 14h, salle bleue
Présentation :
La socio­cra­tie pro­pose un modèle d’orga­ni­sa­tion qui reconnaît le pou­voir de l’intel­li­gence col­lec­tive, celui-là même qui surgit de la concer­ta­tion de per­son­nes enga­gées autour d’un but commun. Elle est par­ti­cu­liè­re­ment adap­tée aux pro­jets qui ont une dimen­sion éthique, huma­niste, écologique, où elle amé­liore la com­mu­ni­ca­tion et la prise de déci­sion. Elle ins­ti­tue des lieux de parole qui encou­ra­gent une com­mu­ni­ca­tion authen­ti­que et créa­trice. Elle toni­fie la struc­ture d’exé­cu­tion, reca­dre et valo­rise le rôle du leader. Elle encou­rage le com­por­te­ment res­pon­sa­ble de chacun.-L’ate­lier sera animé par Françoise Keller et Pierre Tavernier, consul­tants et mem­bres fon­da­teurs du centre fran­çais de socio­cra­tie. Il per­met­tra d’expé­ri­men­ter un fonc­tion­ne­ment socio­cra­ti­que et de voir com­ment ce pro­ces­sus peut être au ser­vice des pro­jets des par­ti­ci­pants.-
La dis­cri­mi­na­tion éthnique Compagnie du Pied Levé Atelier (1h30) : sam 12 mars à 16h, salle bleue
Présentation :
Le théâ­tre-forum a pour objec­tifs de sen­si­bi­li­ser, puis de ques­tion­ner et enfin de com­pren­dre ensem­ble des situa­tions d’oppres­sions, de vio­lence, de conflits. Il est uti­lisé comme outil pour une trans­for­ma­tion sociale. “Le théâ­tre peut nous aider à cons­truire notre avenir, au lieu de sim­ple­ment l’atten­dre” (Augusto Boal).-Concrètement, des comé­diens jouent une pre­mière fois sur scène une say­nète illus­trant une thé­ma­ti­que, ici la dis­cri­mi­na­tion eth­ni­que. La say­nète parle de réa­li­tés qui ne convien­nent pas, elle est cons­truite comme une ques­tion : com­ment faire pour chan­ger cela ? Les comé­diens jouent une deuxième fois la scène. Dans la salle, pas de spec­ta­teurs pas­sifs, mais des acteurs du débat qui peu­vent s’ils le sou­hai­tent venir sur scène pour jouer leur point de vue et tenter de faire bouger les choses.
Devenir des­si­na­teur de BD enga­gée Karinne Ringuet et Dominique Legeard, Les dessin’acteurs Conférence (1h) : ven 11 mars à 14h, espace BD
Ecologie au Quotidien
DIE, Rhône-Alpes, France
Le Chastel 26150 DIE
Tel : 04 75 21 00 56       

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