Le retour du club des cinq...
Ou, les cinq conteurs de l'atelier conte du «coq qui dit certes »
Ou cinq conteurs et leurs cinq histoires
Enfin, bref, cinq conteurs, cinq histoires (minimum) ce jeudi 12 mai à
Ou, les cinq conteurs de l'atelier conte du «coq qui dit certes »
Ou cinq conteurs et leurs cinq histoires
Enfin, bref, cinq conteurs, cinq histoires (minimum) ce jeudi 12 mai à
20 h 30 au coq qui dit certes
Mieux encore : Agnés, Claudine, Marie, Monique et Damien vous délecteront de ces histoires toutes différentes et issues du répertoire du monde.
Le spectacle sera suivi de petites dégustations toutes différentes comme à l'accoutumée.
La participation au frais sera de 5 euros
Pour ceux qui ont des cartes d'abonnement à terminer ce sera pour la
dernière conteuse de la saison : Elisa De Maury le 26 mai
Merci de réserver au 04 75 21 42 07 ou par mail
A jeudi de vous rencontrer au « coq qui dit certes » gorgé de Printemps
Ghislain Papin
Mieux encore : Agnés, Claudine, Marie, Monique et Damien vous délecteront de ces histoires toutes différentes et issues du répertoire du monde.
Le spectacle sera suivi de petites dégustations toutes différentes comme à l'accoutumée.
La participation au frais sera de 5 euros
Pour ceux qui ont des cartes d'abonnement à terminer ce sera pour la
dernière conteuse de la saison : Elisa De Maury le 26 mai
Merci de réserver au 04 75 21 42 07 ou par mail
A jeudi de vous rencontrer au « coq qui dit certes » gorgé de Printemps
Ghislain Papin
Le Prieuré
26310 Recoubeau
tel : 06 78 48 33 38
OU : 04 75 21 42 07
Sur les chemins du Conte, il était une fois ...
Elisa de Maury
Elisa de Maury
Elisa de Maury chemine vers le Conte depuis toujours. Elle aime la création, l’improvisation, découvre la liberté dans la pédagogie et désire aussi faire fleurir la curiosité et la soif des enfants et des adolescents. Elle côtoie ces derniers d’une manière constante à partir de 1983 en animant soit des Projets de création de l’école maternelle jusqu’au Lycée, soit des ateliers « Paroles et Gestes », « Mots et Voies ». Elle trouve là des chemins de traverse... Mais le Conte n’est pas que cela...
Alors à la demande d’Associations, d’Institutions, d’IUFM, du CNFPT, de conteurs elle met en place des stages soit sur l’art de conter, soit sur le Développement Personnel. Ces moments deviennent de véritables temps d’expression et de respiration intérieure, d’approfondissement et de meilleure connaissance de Soi. Elle partage là des temps forts et riches, comme autant de chemins à débroussailler... Mais le Conte n’est pas que cela...
Alors à la demande de psychiatres, psychologues, médecins et infirmiers, elle aide enfants et adultes à trouver d’autres lumières... Mais le Conte n’est pas que cela...
Alors en semeuse invitée par les théâtres, les médiathèques, et les centres culturels, Elisa égraine sa parole pour tous les publics et pour toutes les générations. Elle conte sur le fil de ses mots partout où on lui demande d’enraciner des rêves. Les Festivals d’Albi, Nice, Limoux, Coquelicontes, Alès, Chambéry, Dijon, Bagnolet et tant d’autres l’ont aussi conviée. Ses contes ont laissé en partant de nouveaux chemins de balades... Mais le Conte n’est pas que cela...
Heureusement, elle n’est pas seule sur ce chemin : d’autres amis l’accompagnent et font vivre le CRIC : Collectif Rapide d’Intervention Contes. Ainsi, avec Claude Delsol, Jihad Darwiche, et avec tous ceux qui acceptent le chemin un peu fou qui conduit aux fontaines, aux places de marchés, aux files d’attente dans les théâtres, elle sème une parole chatoyante et conviviale pendant les festivals : d’Annonay à Moirans en Montagne, d’Antibes à l’île de Ré, mêlant sa parole à celle des autres sur les chemins joyeux de la complicité... Mais le conte n’est pas que cela...
Mystère du conte, il n’est pas que tous ces chemins, il est aussi autre chose : depuis quelque temps, Elisa vit au rythme des résidences artistiques : Dignes les Bains et Bras d’Asse, Annecy l’ont accueillie ou l’accueillent encore ; à elle de tisser des liens avec les habitants ; à elle, soutenue par les partenaires commanditaires, de créer des rencontres entre les mémoires et le ciel, entre les mots et les désirs, entre les racines et les rêves. Des spectacles naissent de ces rencontres et de ses moissons, des spectacles qui deviennent des légendes, des contes, des arbres dans la forêt du conte. « Le voyage d’un village » ; « Eclats de mémoires - Mémoires de guerre » ; « Un corps à vies » participent du grand voyage de la parole.
Depuis quelques années, Elisa de Maury partage volontiers la scène avec des musiciens : Catherine Marchand (violoncelliste) et Christelle Delaye (violoncelliste) : avec chacune le plaisir est le même : improvisations, paroles, chants et musiques s’entrecroisent afin que chacun raconte à sa manière puisque le violoncelle se révèle un vrai conteur.
Le conte a depuis quelque temps des exigences de traces, alors Elisa enregistre 3 Cd en 2005, chez Oui’Dire éditions, diffusés par Hamonia Mundi :
- Dans les yeux du loup
- Diableries
- Au-delà de l’amour
et participe à 3cd avec le collectif Les hauts Parleurs qui réunit les conteurs de la région lyonnaise. CD produits par Raymond et Merveilles et le Polarys de Corbas :
- Brèves de conteurs 1
- Brèves de conteurs 2
- Brèves rencontres
- Dans les yeux du loup
- Diableries
- Au-delà de l’amour
et participe à 3cd avec le collectif Les hauts Parleurs qui réunit les conteurs de la région lyonnaise. CD produits par Raymond et Merveilles et le Polarys de Corbas :
- Brèves de conteurs 1
- Brèves de conteurs 2
- Brèves rencontres
Elisa ne cesse pas de chercher, de marcher vers d’autres semailles, d’autres terres, d’autres rêves et d’autres racines, espérant ainsi faire fleurir les Possibles du Monde.
Elle raconte...
et ses contes deviennent peinture : avec minutie, elle choisit sur la palette des mots, les plus tendres, les plus clairs-obscurs, les plus étonnants, les plus drôles... C’est selon, selon le public, l’humeur du temps, ses lectures, ses rêves et ses désirs. Elle ne raconte que cela : les désirs et les haines, les envies et les peurs, l’amour et les vies de l’homme. Elle dit que dans l’Imaginaire, tout devient possible et que les contes sont sans limite. Le pinceau léger, elle dessine les paysages qui habitent ces lieux extraordinaires : aquarelles, gouaches, estampes, découpages laissent entrevoir ses contes qui se lovent ensuite au fond du cœur de tous ceux qui les ont écoutés.
et ses contes deviennent peinture : avec minutie, elle choisit sur la palette des mots, les plus tendres, les plus clairs-obscurs, les plus étonnants, les plus drôles... C’est selon, selon le public, l’humeur du temps, ses lectures, ses rêves et ses désirs. Elle ne raconte que cela : les désirs et les haines, les envies et les peurs, l’amour et les vies de l’homme. Elle dit que dans l’Imaginaire, tout devient possible et que les contes sont sans limite. Le pinceau léger, elle dessine les paysages qui habitent ces lieux extraordinaires : aquarelles, gouaches, estampes, découpages laissent entrevoir ses contes qui se lovent ensuite au fond du cœur de tous ceux qui les ont écoutés.
Elle raconte...
et ses contes deviennent paysages : avec patience, elle choisit dans la multitude de graines au creux de sa main, les plus riches, les plus rondes, les plus dorées et les plus prometteuses... Cela dépend, dépend du public qui est la terre, de l’ampleur du geste, de la chaleur du soir et de la lumière des regards. Elle ne raconte que cela : les regards qui se croisent et se quittent, les jours qui passent et reviennent, les hommes qui marchent et se cherchent. Elle dit que dans le Conte, tout combat juste est couronné d’une victoire et qu’il suffit de le vouloir fort.
et ses contes deviennent paysages : avec patience, elle choisit dans la multitude de graines au creux de sa main, les plus riches, les plus rondes, les plus dorées et les plus prometteuses... Cela dépend, dépend du public qui est la terre, de l’ampleur du geste, de la chaleur du soir et de la lumière des regards. Elle ne raconte que cela : les regards qui se croisent et se quittent, les jours qui passent et reviennent, les hommes qui marchent et se cherchent. Elle dit que dans le Conte, tout combat juste est couronné d’une victoire et qu’il suffit de le vouloir fort.
Alors, elle raconte...
Alors, elle raconte comme d’autres aiment : doucement, les yeux bien ouverts et elle espère..
Alors, elle raconte comme d’autres aiment : doucement, les yeux bien ouverts et elle espère..
Elle espère que ses graines dorées et tendres permettront de grandes récoltes pour nourrir dans un an et dans beaucoup plus longtemps encore, ceux qui l’ont entendue ...et aussi tous les autres qui ne sont pas venus l’écouter mais qui rêvent de mondes extraordinaires et d’ensemencement joyeux.
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