La femme tisse son appartenance au féminin de façon progressive : premiers liens avec la mère, arrivée des règles, mise en place de son autonomie, émergence créatrice, alliance avec l’homme, apprivoisement de sa sexualité,… en tout 9 stades symboliques dessinent son accomplissement.
Ce livre nous invite à devenir l’héroïne de notre propre vie et à reprendre le fil de notre destinée sans perdre l’inspiration de notre cœur. Il est dédié à celles qui désirent accéder à leur potentiel créatif ou qui se sentent bloquées dans un stade de leur évolution. Il éclaire ceux et celles qui désirent mieux comprendre les femmes et accompagner leurs transformations.
Par cette mise en lumière de « la femme qui se réinvente » nous apprendrons à relier notre créativité à notre vie intérieure tout en traversant plus sereinement l’étape délicate de la naissance à soi-même. En osant pleinement nos Femmes Sauvage, Inspirée, Déesse, Aimante, Responsable, Initiatrice,… nous pourrons nous impliquer collectivement et danser en pleine lumière notre vie féminine.
Extrait de l'introduction de Monique Grande :
Ce livre nous invite à devenir l’héroïne de notre propre vie et à reprendre le fil de notre destinée sans perdre l’inspiration de notre cœur. Il est dédié à celles qui désirent accéder à leur potentiel créatif ou qui se sentent bloquées dans un stade de leur évolution. Il éclaire ceux et celles qui désirent mieux comprendre les femmes et accompagner leurs transformations.
Par cette mise en lumière de « la femme qui se réinvente » nous apprendrons à relier notre créativité à notre vie intérieure tout en traversant plus sereinement l’étape délicate de la naissance à soi-même. En osant pleinement nos Femmes Sauvage, Inspirée, Déesse, Aimante, Responsable, Initiatrice,… nous pourrons nous impliquer collectivement et danser en pleine lumière notre vie féminine.
Extrait de l'introduction de Monique Grande :
" La première fois que je me suis «immergée» dans un cercle de paroles de femmes, j'ignorais pourquoi j'étais là, un appel sans doute, un rendez-vous, une urgence. Ce qui me frappe encore, c'est cette ambivalence qui m'envahissait au contact des autres femmes, ambiguïté faite à la fois d'attirance et de peur. Ce jour-là, nous étions plus de trente réunies en cercle, assoiffées par notre quête d'identité, prêtes à manifester nos doutes et à plonger dans nos errances. Je me souviens de cette ambiance féminine, pourtant simple et intime, mêlée parfois de grands silences, d'interrogations, de tristesse ou de rires déployés. Cette recherche incessante d'un miroir féminin et cette incompréhension de la femme vis-à-vis d'elle-même était pour moi un grand mystère. Que venions-nous chercher au juste dans ce groupe féminin ? Etait-ce un sourire en forme d'acquiescement ou d'autorisation, quelque chose qui ressemblerait à une sorte de «Oui, vas-y, vas-y maintenant, tu es prête !» ? Ou bien alors un sentiment d'appartenance que nous voulions conforter au milieu d'autres femmes «comme nous» ? À moins que ce soit une toute autre motivation, animée par un besoin commun de venir boire à la source du féminin, à la résurgence d'une intelligence créatrice oubliée, d'une force tranquille, d'un espace sacré qui nous révèle à notre propre lumière ?
Quelques années plus tard, lorsque j'ai animé à mon tour des groupes de paroles de femmes, j'ai plongé périodiquement dans des face-à-face analogues. Pendant sept ans, j'ai cherché à comprendre les femmes, je me suis mise à l'écoute de leur histoire de vie et j'ai accompagné leur voyage intérieur, tour à tour sombre ou joyeux, terrible ou fascinant. Très souvent elles ont témoigné de la puissance du cercle, créateur d'un lien solide, dans lequel elles pouvaient puiser la force, la lumière et la joyeuseté nécessaires pour parcourir les jours qui les séparaient de notre prochain rendez-vous. Elles ont retissé ensemble les moments importants de leur vie, incarnant alors toute une palette de personnages : la fille innocente, la fille rêveuse, la soeur de jeux, la soeur jalouse, la jeune fille fleurissante ou l'adolescente reniée, la femme libre, la rivale, la mère bienveillante, la mère toute-puissante, la trop bonne mère, la marâtre, la grand-mère dévouée, la vieille femme sage... traversant ainsi les grands archétypes de la psyché féminine et s'approchant chaque fois plus près de la place de femme que chacune rêvait de se donner."
Monique Grande
Romans sur Isère 26
monique.grande@wanadoo.fr
Quelques années plus tard, lorsque j'ai animé à mon tour des groupes de paroles de femmes, j'ai plongé périodiquement dans des face-à-face analogues. Pendant sept ans, j'ai cherché à comprendre les femmes, je me suis mise à l'écoute de leur histoire de vie et j'ai accompagné leur voyage intérieur, tour à tour sombre ou joyeux, terrible ou fascinant. Très souvent elles ont témoigné de la puissance du cercle, créateur d'un lien solide, dans lequel elles pouvaient puiser la force, la lumière et la joyeuseté nécessaires pour parcourir les jours qui les séparaient de notre prochain rendez-vous. Elles ont retissé ensemble les moments importants de leur vie, incarnant alors toute une palette de personnages : la fille innocente, la fille rêveuse, la soeur de jeux, la soeur jalouse, la jeune fille fleurissante ou l'adolescente reniée, la femme libre, la rivale, la mère bienveillante, la mère toute-puissante, la trop bonne mère, la marâtre, la grand-mère dévouée, la vieille femme sage... traversant ainsi les grands archétypes de la psyché féminine et s'approchant chaque fois plus près de la place de femme que chacune rêvait de se donner."
Monique Grande
Romans sur Isère 26
monique.grande@wanadoo.fr
Il existe un goupe de réflexion sur la "Féminitude" dans le Diois
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