Dans le paysage politique drômois, les trois
sénateurs sortants sont issus des rangs du PS : Didier Guillaume, Bernard Piras et Jean Besson. Ce
dernier a déjà fait savoir qu’il ne serait pas candidat à un nouveau mandat.
« Ça fait 25 ans que je
suis sénateur, j’ai 65 ans et j’ai milité pour la retraite à 60 ans, alors
j’applique », résume Jean Besson. Or, les prochaines élections sénatoriales
auront lieu selon un scrutin de liste, avec la parité. Pour le PS, cette liste devrait être conduite par Didier Guillaume, 1er
vice-président du Sénat, et elle inclura forcément une femme en 2e position. Christine
Priotto, maire de Dieulefit, a déjà fait savoir qu’elle est « candidate à la
candidature. »
Au centre et à droite, le nom de Franck Reynier
(UDI), député-maire de Montélimar, circule
beaucoup. Celui-ci ne dément pas : « J’ai été sollicité par pas mal de mes
amis. Je suis maire, président d’agglomération, ils trouvent que j’ai le profil
pour représenter les communes. Mais rien n’est fait et les familles politiques
doivent désigner leurs représentants. »
Hervé Mariton, patron de
l’UMP pour la Drôme, se dit pour sa part « favorable à des listes d’union
UMP-UDI, conformément à la position nationale de l’UMP. »
Pour l’UMP
plusieurs noms circulent : Gilbert
Bouchet (maire de Tain), Marie-Pierre Mouton (maire de Pierrelatte), Jacques
Ladegaillerie (maire de Loriol)…
MCD
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