Condamnation à deux ans de camp pénitentiaire pour
les Pussy Riot
Les trois activistes de
Poussy Riot ont été condamnées vendredi à deux
ans de camps pénitentiaire pour “vandalisme” et “incitation à la haine
religieuse”. Le procès des trois femmes a été largement suivit par les
défenseurs des droits des l’homme et de la liberté d’expression. Amnesty
International et la Fédération
Internationale des Droits de l’Homme avaient appelé à se rassembler à Paris,
vendredi, pour entendre la sentence.
Bien que l’issue de ce procès paraisse inexorable dès le début d'après-midi, l’annonce de la sanction se sera fait attendre plus longtemps que prévu. Nadejda Tolokonnikova (22 ans), Ekaterina Samoutsevitch, (30 ans) et Maria Alekhina (24 ans), les trois membres du groupe punk féministe Pussy Riot ont finalement été reconnues coupables de hooliganisme et d’incitation à la haine religieuse. Pour avoir entonné un hymne anti Poutine dans l’église du Christ sauveur de Moscou, en février dernier, elles écopent toutes trois d’une condamnation à 2 ans de travaux dans un camp pénitentiaire réservé aux femmes.
Bien que l’issue de ce procès paraisse inexorable dès le début d'après-midi, l’annonce de la sanction se sera fait attendre plus longtemps que prévu. Nadejda Tolokonnikova (22 ans), Ekaterina Samoutsevitch, (30 ans) et Maria Alekhina (24 ans), les trois membres du groupe punk féministe Pussy Riot ont finalement été reconnues coupables de hooliganisme et d’incitation à la haine religieuse. Pour avoir entonné un hymne anti Poutine dans l’église du Christ sauveur de Moscou, en février dernier, elles écopent toutes trois d’une condamnation à 2 ans de travaux dans un camp pénitentiaire réservé aux femmes.
Les trois jeunes femmes
sont devenues depuis plusieurs mois un symbole de la multiplication des atteintes à la liberté d’expression dans la
Russie de Vladimir Poutine. Leur histoire a eu un très fort écho
international, et elles ont reçu de nombreux soutiens depuis leur arrestation.
Vendredi après midi, une centaine de personnes se sont donc réunies place Igor
Stravinsky, à Paris, à l’appel d’Amnesty International et de plusieurs autres
associations. Un rassemblement hétéroclite, qui réunissait féministes,
défenseurs des droits de l’homme et de la liberté d’expression, ou militants
politiques, touchés chacun à leur manière par cette condamnation.
De nombreux manifestants
se sont rendus devant le tribunal de Moscou, où la police a procédé à plusieurs
arrestations. Ils réclament la libération sans condition des féministes, qui
ont également reçu un soutien inattendu de la part du département d'Etat
américain, qui a qualifié le verdict de « disproportionné » , dans un
communiqué publié en fin d'après midi.
La Ligue des Droits de l’Homme demande la
libération immédiate des 3 activistes russes.
04 79 28 21 20
Section Dioise
Chastel et Bassette
26150 Die
http://mediascitoyens-diois.blogspot.com/
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