Sa petitesse, sa flamme
tendre. Sa douceur et sa discrétion.
Son âme fragile comme un moineau au cœur de la froidure.
Décembre…
Loin des vitrines et des gueuletons, des cadeaux boulimiques et des stations de ski rutilantes.
Décembre, comme une trace dans la neige.
Son âme fragile comme un moineau au cœur de la froidure.
Décembre…
Loin des vitrines et des gueuletons, des cadeaux boulimiques et des stations de ski rutilantes.
Décembre, comme une trace dans la neige.
Comme la brindille pliant
sous le poids d’une promesse de bourgeon.
Comme un sémaphore, un arrêt sur image.
Une lenteur salvatrice nous rendant à notre nudité solitaire.
Décembre, comme un repère au solstice : Lumière rognée de l’aube au crépuscule.
Décembre de l’essentiel, des êtres qui nous sont chers et de l’acte posé de le leur écrire…
Comme un sémaphore, un arrêt sur image.
Une lenteur salvatrice nous rendant à notre nudité solitaire.
Décembre, comme un repère au solstice : Lumière rognée de l’aube au crépuscule.
Décembre de l’essentiel, des êtres qui nous sont chers et de l’acte posé de le leur écrire…
Décembre de
l’indispensable bien-être d’être en soi, secrètement béni d’une force
invisible, d’une foi de charbonnier amoureux.
Décembre tendu vers quelques autres : Ces passagers d’un même rafiot mille fois rafistolé... mais poussant vaillamment sa croisière vers l’inconnu.
Décembre tendu vers quelques autres : Ces passagers d’un même rafiot mille fois rafistolé... mais poussant vaillamment sa croisière vers l’inconnu.
Décembre de l’épure, du
repli et du ressac ; lorsque le coquillage sur le sable nous invite à la
contemplation.
Décembre, au palier de la fraîche année ressassant sa nouveauté :
Décembre, au palier de la fraîche année ressassant sa nouveauté :
Comme si le meilleur
soudainement, pouvait remplacer le pire… Bientôt !
Morice Benin, 28 décembre 2013.
26150 Die
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire