L’ Ecologie dans nos pratiques quotidiennes et sociales : objet du festival de Die au pied du Vercors.
Un cheminement d’ Education Populaire
Organisées par l’association Ecologie au Quotidien, les 8 èmes Rencontres de l’Ecologie au Quotidien de Die se déroulent du 22 janvier au 14 février. Chaque année, une centaine d’invités et plus de 12 000 entrées (en 2009), 4000 heures de bénévolat, 100 volontaires ou militants, une cinquantaine d’associations partenaires sont les ingrédients de cette rencontre régionale originale. "Et toujours cette diversité de l’offre : conférences, débats, cinéma, concerts, théâtre, repas bio, librairie, ateliers pratiques, spectacles enfants et adultes, expositions, visites d’éco-sites, animations scolaires, jeux coopératifs, etc.… qui permet de sensibiliser les publics de différentes manières" explique la chargée de mission, Anne Tesson.
« De très nombreux thèmes sont abordés : solidarité Nord-Sud, Economie Sociale et Solidaire, Education à la Paix, Communication Non-Violente, transports doux, transformation sociale, valorisation du territoire et de ses acteurs, Education à l’Environnement, luttes sociales, alimentation et agriculture biologiques, médecine alternative, protection des biodiversités animales et végétales, pollutions, relocalisation de l’économie, auto et éco-construction, énergies renouvelables, poésie, migrations humaines, peuples racines, pacifisme, précautions avec la forêt et l’eau, désobéissance civiques… « Cela permet de toucher toutes et tous, quelles que soient leurs sensibilités et c’est la richesse de ce festival Rhône-Alpin » conçoit une administratrice Annick Paoli .
Avec en janvier 2010 : Les alternatives sur la planète de et avec Coline Serreau, La décroissance et l’Après-Pétrole (Yves Cochet ), La terre (Lydia et Claude Bourguignon), Quelle agriculture pour demain, Territoires Solidaire (Biovallée), Les droits des animaux (Roger Mathieu et Pierre Athanaze), les Pollutions, Lanceurs d’alertes (M.Rivasi), Se soigner autrement (Dr Penoël),l’ Education avec Philippe Mérieu, Education à la paix et à la non-violence (Isabelle Peloux ), écoconstruction( les Compaillons ), écohameaux, etc.… Marier écologie sociale, écologie environnementale et écologie personnelle ( Félix Guattari)
Ecologie au Quotidien présente donc les VIIIème Rencontres de l’Ecologie au Quotidien du Diois autour du thème "Agir …Ici et Maintenant » une injonction mobilisatrice des philosophes de tous les temps. « C’est un temps pour reprendre espoir et se remobiliser sur des dynamiques citoyennes sur nos territoires et participer à une véritable éducation populaire » explique Anne Tesson.
« Le succès des Rencontres de l’Ecologie au Quotidien de Die, confirme l’émergence d’une société civile active sur un territoire dynamique où des convictions d’écologie, citoyenneté, fraternité et paix veulent se conjuguer avec bonheur»explique Monique Gasquet de Ecologie au Quotidien.
Il y a neuf ans, quelques habitants se demandaient :" Pourquoi un territoire où le terreau social, agricole, écologique, culturel et artistique si fertile n’offre pas un événement de qualité à la hauteur de ses valeurs et de son identité ?".
Avec en janvier 2010 : Les alternatives sur la planète de et avec Coline Serreau, La décroissance et l’Après-Pétrole (Yves Cochet ), La terre (Lydia et Claude Bourguignon), Quelle agriculture pour demain, Territoires Solidaire (Biovallée), Les droits des animaux (Roger Mathieu et Pierre Athanaze), les Pollutions, Lanceurs d’alertes (M.Rivasi), Se soigner autrement (Dr Penoël),l’ Education avec Philippe Mérieu, Education à la paix et à la non-violence (Isabelle Peloux ), écoconstruction( les Compaillons ), écohameaux, etc.… Marier écologie sociale, écologie environnementale et écologie personnelle ( Félix Guattari)
Ecologie au Quotidien présente donc les VIIIème Rencontres de l’Ecologie au Quotidien du Diois autour du thème "Agir …Ici et Maintenant » une injonction mobilisatrice des philosophes de tous les temps. « C’est un temps pour reprendre espoir et se remobiliser sur des dynamiques citoyennes sur nos territoires et participer à une véritable éducation populaire » explique Anne Tesson.
« Le succès des Rencontres de l’Ecologie au Quotidien de Die, confirme l’émergence d’une société civile active sur un territoire dynamique où des convictions d’écologie, citoyenneté, fraternité et paix veulent se conjuguer avec bonheur»explique Monique Gasquet de Ecologie au Quotidien.
Il y a neuf ans, quelques habitants se demandaient :" Pourquoi un territoire où le terreau social, agricole, écologique, culturel et artistique si fertile n’offre pas un événement de qualité à la hauteur de ses valeurs et de son identité ?".
Depuis 2003, sept Rencontres de l’Ecologie au Quotidien ont esquissé des réponses. Douze journées de mobilisation et un travail en profondeur toute l’année, d’abord des habitants et des associations d’éducation à l’environnement, d’éducation populaire, de protection de la nature et de défense des droits de l’homme, sont offertes chaque année à Die.
Le thème " Agir …Ici et Maintenant » donne le "la" à la manifestation.
Chacun, pendant ces Rencontres, vient faire son panier dans la diversité des actions : la disparition des abeilles, les forêts, notre relation à l’animal sauvage, l’agriculture biologique, les habitats alternatifs, Energie et climat, économie sociale et solidaire, alerte au climat, luttes sociales, biodiversité, non violence, éducation à l’environnement, démocratie participative ...
La pluralité des intervenants permet aussi de toucher tous les publics. Réinventer « une pensée locale pour un développement local dans une réflexion globale et un développement global » s’affirme comme la colonne vertébrale de cet évènement se référant à la Formule d’ Edgar Morin.
Que mille réseaux s’épanouissent
Ainsi naissent des réseaux au cœur des Rencontres de l’Ecologie valorisant ainsi acteurs et territoire. « Plusieurs milliers de visiteurs fêtent l’Ecologie et la vie, et les organisateurs donnent une large place au débat public. En plein hiver, avec rien à vendre, l’événement aurait pourtant pu faire figure de challenge. " Nous semons, le terreau est déjà là. Information, sensibilisation, formation, échanges sont autant d’outils que les gens viennent chercher afin de s’engager dans leur quotidien. Sans prétention, nous essayons d’ensemencer des terres de solidarité, de générosité, de luttes, de conscience et de paix pour un futur vivable et désirable par tous. C’est un espace qui enrichit la démocratie...et "où le peuple est très populaire", un clin d’œil à Victor Hugo.." précise Annick Paoli. Cette action s’inscrit dans une trame historique propre au Diois avec sa tradition d’innovation et d’accueil de nouvelles idées, technologies et savoir-faire : agriculture biologique dans les années 70, diversification des productions en particulier de plantes aromatiques, médicinales et à parfum dans les années 80 (et ses micro-entreprises), une forte présence de personnes sensibles à l’alimentation bio, la mise en place d’une charte de territoire et agrément "d’un pays" porteur d’une identité et d’une sensibilité propres. Et finalement la labellisation comme BioVallée.
La simplicité volontaire.
« Travailler moins et consommer moins pour vivre mieux, c’est-à-dire choisir la simplicité volontaire. Comment la mettre en oeuvre ? Comment commencer ? Comment travailler moins pour vivre mieux ? Vivre de façon simple à la campagne est une réalité pour la moitié de la population mondiale et reste réalisable au Nord. Des exemples sont emblématiques. Le cheval de trait peut remplacer le tracteur, la cuisine solaire est efficace même au Nord. Enfin, plutôt que d’utiliser du béton dans la construction et la rénovation, le chanvre est une alternative qui permet de faire vivre toute une filière locale de sa culture à sa mise en ouvre ».
C’est parce que les habitants de pays comme le Burkina Fasso vivent chichement en pesant peu sur les ressources de la planète qu’un français moyen peut se permettre de consommer 8 fois plus et un américain 15 fois plus. La terre est un espace fini avec des ressources limitées. Le partage des ressources ne se fera pas sans heurts si les pays les plus nantis ne font aucun effort pour se restreindre... L’empreinte écologique (surface de planète estimée nécessaire pour assurer la production de notre nourriture, nos vêtements, notre énergie, nos recyclages de déchets et nos émissions de CO2...), vulgarisée par le WWF en 2002 à Johannesburg, fait ressortir que chaque terrien use 2,7 hectares et que si chaque humain voulait vivre comme un français, il faudrait 3 planètes et 7 planètes pour vivre comme un américain. Nous ne disposons actuellement que de la seule terre et il est utopique d’imaginer " de garder notre système de consommation-prédation actuel dans les pays riches".
« Nous devons donc nous engager volontairement vers une « sobriété heureuse » ( F.Brune) ou une « Simplicité volontaire » (P.Rabhi)... sur nos territoires. Non, la qualité de vie n’en pâtira pas : combien sont possibles les champs de la croissance des relations humaines de voisinage, amicales, familiales, associatives, de temps partagés avec nos enfants ou de temps de plaisir : musique, artistique, ballades, connaissance de la flore, faire du vélo ou des recherches sociologiques, de la relaxation ou l’apprentissage du jardinage... où 1000 fleurs peuvent nous épanouir, sans détruire, piller ou polluer... Sur nos territoires, l’exemple individuel doit être complété par l’exemplarité de collectivités locales afin de réviser nos certitudes.. » Conclue Anne Tesson. Impacter tout un Territoire
Dans le cadre des commissions constitutives (1999-2000) de l’Espace Social et Culturel de Die et du Diois, puis des "Carrefours" et plus particulièrement le " Carrefour Vie Locale" (2001-2002), des habitants du Diois se sont retrouvés régulièrement pour réfléchir " à une sensibilisation des habitants sur le thème de l’écologie ".
Après plusieurs réunions, plus que l’organisation d’une foire ou d’un festival, " c’est un travail pédagogique autour de nos gestes quotidiens envers les jeunes et les adultes et une valorisation des acteurs du Diois liés à l’écologie" qui a été choisi par le groupe "Ecologie au Quotidien". " Ecologie au Quotidien" a l’objectif de mettre en réseau des associations de l’ensemble de la vallée de la Drôme afin de mutualiser les informations, actions et projets allant dans le sens de l’Ecologie et des valeurs humanistes. Ce réseau est un enrichissement de la société civile sur nos territoires, le résultat d’une responsabilisation de ses acteurs face aux enjeux de société et une volonté de travailler en commun pour un " Mieux vivre ensemble".
Le thème " Agir …Ici et Maintenant » donne le "la" à la manifestation.
Chacun, pendant ces Rencontres, vient faire son panier dans la diversité des actions : la disparition des abeilles, les forêts, notre relation à l’animal sauvage, l’agriculture biologique, les habitats alternatifs, Energie et climat, économie sociale et solidaire, alerte au climat, luttes sociales, biodiversité, non violence, éducation à l’environnement, démocratie participative ...
La pluralité des intervenants permet aussi de toucher tous les publics. Réinventer « une pensée locale pour un développement local dans une réflexion globale et un développement global » s’affirme comme la colonne vertébrale de cet évènement se référant à la Formule d’ Edgar Morin.
Que mille réseaux s’épanouissent
Ainsi naissent des réseaux au cœur des Rencontres de l’Ecologie valorisant ainsi acteurs et territoire. « Plusieurs milliers de visiteurs fêtent l’Ecologie et la vie, et les organisateurs donnent une large place au débat public. En plein hiver, avec rien à vendre, l’événement aurait pourtant pu faire figure de challenge. " Nous semons, le terreau est déjà là. Information, sensibilisation, formation, échanges sont autant d’outils que les gens viennent chercher afin de s’engager dans leur quotidien. Sans prétention, nous essayons d’ensemencer des terres de solidarité, de générosité, de luttes, de conscience et de paix pour un futur vivable et désirable par tous. C’est un espace qui enrichit la démocratie...et "où le peuple est très populaire", un clin d’œil à Victor Hugo.." précise Annick Paoli. Cette action s’inscrit dans une trame historique propre au Diois avec sa tradition d’innovation et d’accueil de nouvelles idées, technologies et savoir-faire : agriculture biologique dans les années 70, diversification des productions en particulier de plantes aromatiques, médicinales et à parfum dans les années 80 (et ses micro-entreprises), une forte présence de personnes sensibles à l’alimentation bio, la mise en place d’une charte de territoire et agrément "d’un pays" porteur d’une identité et d’une sensibilité propres. Et finalement la labellisation comme BioVallée.
La simplicité volontaire.
« Travailler moins et consommer moins pour vivre mieux, c’est-à-dire choisir la simplicité volontaire. Comment la mettre en oeuvre ? Comment commencer ? Comment travailler moins pour vivre mieux ? Vivre de façon simple à la campagne est une réalité pour la moitié de la population mondiale et reste réalisable au Nord. Des exemples sont emblématiques. Le cheval de trait peut remplacer le tracteur, la cuisine solaire est efficace même au Nord. Enfin, plutôt que d’utiliser du béton dans la construction et la rénovation, le chanvre est une alternative qui permet de faire vivre toute une filière locale de sa culture à sa mise en ouvre ».
C’est parce que les habitants de pays comme le Burkina Fasso vivent chichement en pesant peu sur les ressources de la planète qu’un français moyen peut se permettre de consommer 8 fois plus et un américain 15 fois plus. La terre est un espace fini avec des ressources limitées. Le partage des ressources ne se fera pas sans heurts si les pays les plus nantis ne font aucun effort pour se restreindre... L’empreinte écologique (surface de planète estimée nécessaire pour assurer la production de notre nourriture, nos vêtements, notre énergie, nos recyclages de déchets et nos émissions de CO2...), vulgarisée par le WWF en 2002 à Johannesburg, fait ressortir que chaque terrien use 2,7 hectares et que si chaque humain voulait vivre comme un français, il faudrait 3 planètes et 7 planètes pour vivre comme un américain. Nous ne disposons actuellement que de la seule terre et il est utopique d’imaginer " de garder notre système de consommation-prédation actuel dans les pays riches".
« Nous devons donc nous engager volontairement vers une « sobriété heureuse » ( F.Brune) ou une « Simplicité volontaire » (P.Rabhi)... sur nos territoires. Non, la qualité de vie n’en pâtira pas : combien sont possibles les champs de la croissance des relations humaines de voisinage, amicales, familiales, associatives, de temps partagés avec nos enfants ou de temps de plaisir : musique, artistique, ballades, connaissance de la flore, faire du vélo ou des recherches sociologiques, de la relaxation ou l’apprentissage du jardinage... où 1000 fleurs peuvent nous épanouir, sans détruire, piller ou polluer... Sur nos territoires, l’exemple individuel doit être complété par l’exemplarité de collectivités locales afin de réviser nos certitudes.. » Conclue Anne Tesson. Impacter tout un Territoire
Dans le cadre des commissions constitutives (1999-2000) de l’Espace Social et Culturel de Die et du Diois, puis des "Carrefours" et plus particulièrement le " Carrefour Vie Locale" (2001-2002), des habitants du Diois se sont retrouvés régulièrement pour réfléchir " à une sensibilisation des habitants sur le thème de l’écologie ".
Après plusieurs réunions, plus que l’organisation d’une foire ou d’un festival, " c’est un travail pédagogique autour de nos gestes quotidiens envers les jeunes et les adultes et une valorisation des acteurs du Diois liés à l’écologie" qui a été choisi par le groupe "Ecologie au Quotidien". " Ecologie au Quotidien" a l’objectif de mettre en réseau des associations de l’ensemble de la vallée de la Drôme afin de mutualiser les informations, actions et projets allant dans le sens de l’Ecologie et des valeurs humanistes. Ce réseau est un enrichissement de la société civile sur nos territoires, le résultat d’une responsabilisation de ses acteurs face aux enjeux de société et une volonté de travailler en commun pour un " Mieux vivre ensemble".
Une écocitoyenneté en action. A ce jour, des associations de la Communauté des Communes du Val de Drôme, de Crest, de la C.C de Saillans et de la C.C du Diois participent à la construction du projet des "Rencontres de l’Ecologie au Quotidien". Cette synergie sur les différents territoires préfigure la mobilisation de la société civile sur ce projet de "développement humain durable" et sur un espace de cohérence et de cohésion que l’on appelle « BioVallée ». C’est sur l’ensemble de ces territoires que les Rencontres de l’Ecologie au Quotidien rayonnent. La commune de Die, la Communauté des Communes du Diois, le Parc Naturel Régional du Vercors, le Conseil Général de la Drôme, la Direction Régionale de l’Environnement (DIREN), le Conseil Régional Rhône-Alpes (CDPRA), le Contrat Région-Pays CDDRA, etc.. sont partenaires du projet et de l’ action.
L’espèce humaine face à son devenir
Comment se fait-il que l’humanité, en dépit des ressources planétaires suffisantes et de ses prouesses technologiques sans précédent, ne parvienne pas à faire en sorte que chaque être humain puisse se nourrir, se vêtir, s’abriter, se soigner et développer les potentialités nécessaire à son accomplissement ?
Comment se fait-il que la moitié du genre humain, constituée par le monde féminin, soit toujours subordonnée à l’arbitraire d’un masculin outrancier et violent ?
Comment se fait-il que le monde animal, à savoir les créatures compagnes de notre destin et auxquelles nous devons même notre survie à travers l’histoire, soit ravalé dans notre société d’hyper consommation à des masses ou à des fabriques de protéines ?
Comment les mammifères auxquels j’appartiens ont-ils pu se croire le droit d’exercer d’innombrables exactions sur le monde animal, domestique ou sauvage ?
Comment se fait-il que nous n’ayons pas pris conscience de la valeur inestimable de notre petite planète, oasis de vie au sein d’un désert sidéral infini, et que nous ne cessions de la piller, de la polluer, de la détruire aveuglément au lieu d’en prendre soin et d’y construire la paix et la concorde entre les peuples ?
Ces questions qui demeurent à ce jour sans réponse mettent en évidence la faillite de notre conscience et l’obscurantisme dans lequel nous évoluons en dépit de nos connaissances. C’est à tout cela que les Rencontres de Die veulent éveiller….
Pour un territoire vivant et solidaire
« Développer une éco-citoyenneté en participant à la prise de conscience que ce n’est qu’en modifiant nos modes de vie et nos comportements que nous pourrons éviter une catastrophe écologique majeure au niveau mondial. Sensibiliser et responsabiliser les jeunes et les adultes au respect de l’environnement dans les gestes quotidiens pour un "mieux vivre " sur le territoire et sur la planète. Mettre en valeur la spécificité du territoire Diois en valorisant les acteurs locaux, projets, actions et entreprises liés à la qualité environnementale. Créer une dynamique locale favorable au respect de tous et à la reconnaissance de chacun. Pour ce faire, contribuer à travers des actions conscientisantes à structurer le territoire en fédérant des associations autour de valeurs écologistes et humanistes à travers des actions locales. Développer la connaissance, auprès d’un public non averti, de l’impact des gestes individuels et des choix de consommation sur l’environnement et sur notre santé. Informer et donner des pistes pour des modes de vie plus responsables et plus écologiques. Engendrer une solidarité pour un projet commun de territoire vivant et de "haute qualité humaine". Valoriser l’Agriculture Biologique à partir de son impact sur l’environnement et sur la santé pour développer le réseau de producteurs, de consommateurs et de distributeurs de produits biologiques. Enclencher un processus de sensibilisation et d’action sur tout le territoire et l’évaluer au cours de l’année suivante. Faire travailler des partenaires ensemble sur un projet commun, avec des responsabilités partagées. Nourrir un terreau afin que germent des initiatives en matière de citoyenneté et d’écologie » précisait Thierry Geffray, ex-président de la Communauté des Communes du Diois dans son discours inaugural en 2009.
Un Temps Fort au cœur de l’Hiver
Une centaine de bénévoles, des animateurs, des élus, des écoles se sont mobilisés autour du projet " Ecologie au Quotidien". Une restitution de ce travail a eu lieu en janvier 2010 lors des " Rencontres de l’Ecologie au Quotidien ». Cette manifestation est organisée à la salle polyvalente, dans les écoles, à l’écosite des Amaninde Crest, à Crest, au cinéma, à l’Arrêt-Public, et dix lieux associatifs et autres sites du Diois et du Crestois, à Espenel, Romans et pour la première année à Villard de lans. Ces 23 jours sont un moment privilégié de rencontres, de retissage de lien social, de découverte du travail sur le territoire, de réappropriation de la mémoire afin de construire une identité collective forte, de redynamisation de nos énergies respectives. L’événement est un acte significatif d’engagement local et global des habitants pour la planète.
Contact : Ecologie au Quotidien
Le Chastel
26150 DIE
Tel:04 75 21 00 56
ecologieauquotidien@gmail.com
Site : http://ecologieauquotidien.blogspot.com
ou http://www.ecologieauquotidien.fr/
Claude Veyret
L’espèce humaine face à son devenir
Comment se fait-il que l’humanité, en dépit des ressources planétaires suffisantes et de ses prouesses technologiques sans précédent, ne parvienne pas à faire en sorte que chaque être humain puisse se nourrir, se vêtir, s’abriter, se soigner et développer les potentialités nécessaire à son accomplissement ?
Comment se fait-il que la moitié du genre humain, constituée par le monde féminin, soit toujours subordonnée à l’arbitraire d’un masculin outrancier et violent ?
Comment se fait-il que le monde animal, à savoir les créatures compagnes de notre destin et auxquelles nous devons même notre survie à travers l’histoire, soit ravalé dans notre société d’hyper consommation à des masses ou à des fabriques de protéines ?
Comment les mammifères auxquels j’appartiens ont-ils pu se croire le droit d’exercer d’innombrables exactions sur le monde animal, domestique ou sauvage ?
Comment se fait-il que nous n’ayons pas pris conscience de la valeur inestimable de notre petite planète, oasis de vie au sein d’un désert sidéral infini, et que nous ne cessions de la piller, de la polluer, de la détruire aveuglément au lieu d’en prendre soin et d’y construire la paix et la concorde entre les peuples ?
Ces questions qui demeurent à ce jour sans réponse mettent en évidence la faillite de notre conscience et l’obscurantisme dans lequel nous évoluons en dépit de nos connaissances. C’est à tout cela que les Rencontres de Die veulent éveiller….
Pour un territoire vivant et solidaire
« Développer une éco-citoyenneté en participant à la prise de conscience que ce n’est qu’en modifiant nos modes de vie et nos comportements que nous pourrons éviter une catastrophe écologique majeure au niveau mondial. Sensibiliser et responsabiliser les jeunes et les adultes au respect de l’environnement dans les gestes quotidiens pour un "mieux vivre " sur le territoire et sur la planète. Mettre en valeur la spécificité du territoire Diois en valorisant les acteurs locaux, projets, actions et entreprises liés à la qualité environnementale. Créer une dynamique locale favorable au respect de tous et à la reconnaissance de chacun. Pour ce faire, contribuer à travers des actions conscientisantes à structurer le territoire en fédérant des associations autour de valeurs écologistes et humanistes à travers des actions locales. Développer la connaissance, auprès d’un public non averti, de l’impact des gestes individuels et des choix de consommation sur l’environnement et sur notre santé. Informer et donner des pistes pour des modes de vie plus responsables et plus écologiques. Engendrer une solidarité pour un projet commun de territoire vivant et de "haute qualité humaine". Valoriser l’Agriculture Biologique à partir de son impact sur l’environnement et sur la santé pour développer le réseau de producteurs, de consommateurs et de distributeurs de produits biologiques. Enclencher un processus de sensibilisation et d’action sur tout le territoire et l’évaluer au cours de l’année suivante. Faire travailler des partenaires ensemble sur un projet commun, avec des responsabilités partagées. Nourrir un terreau afin que germent des initiatives en matière de citoyenneté et d’écologie » précisait Thierry Geffray, ex-président de la Communauté des Communes du Diois dans son discours inaugural en 2009.
Un Temps Fort au cœur de l’Hiver
Une centaine de bénévoles, des animateurs, des élus, des écoles se sont mobilisés autour du projet " Ecologie au Quotidien". Une restitution de ce travail a eu lieu en janvier 2010 lors des " Rencontres de l’Ecologie au Quotidien ». Cette manifestation est organisée à la salle polyvalente, dans les écoles, à l’écosite des Amaninde Crest, à Crest, au cinéma, à l’Arrêt-Public, et dix lieux associatifs et autres sites du Diois et du Crestois, à Espenel, Romans et pour la première année à Villard de lans. Ces 23 jours sont un moment privilégié de rencontres, de retissage de lien social, de découverte du travail sur le territoire, de réappropriation de la mémoire afin de construire une identité collective forte, de redynamisation de nos énergies respectives. L’événement est un acte significatif d’engagement local et global des habitants pour la planète.
Contact : Ecologie au Quotidien
Le Chastel
26150 DIE
Tel:04 75 21 00 56
ecologieauquotidien@gmail.com
Site : http://ecologieauquotidien.blogspot.com
ou http://www.ecologieauquotidien.fr/
Claude Veyret
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