Rencontres "Résister à la psychiatrie"
"psychiatrie et politique ?" et : "quels lieux de vie ?"
"psychiatrie et politique ?" et : "quels lieux de vie ?"
Du 6 au 13 septembre prochain
à Marivieille, à Bellegarde en Diois, dans la Drôme.
Article mis en ligne le
vendredi 30 août 2013
Bonjour,
Les prochaines rencontres
liées au réseau informel "Résister à la psychiatrie" et à la revue "Sans remède" (http://sansremede.fr/) auront lieu du 6 au
13 septembre prochain à Marivieille, à Bellegarde en Diois, dans la Drôme.
Toute personne se
considérant personnellement (et non à titre professionnel) concernée est
bienvenue !
D’ores et déjà, nous
savons que nous souhaitons mettre en avant deux pôles de réflexions :
"psychiatrie et politique ?" et : "quels lieux de
vie ?"
Par exemple, les discussions sur le thème
"Politique et psychiatrie" pourraient
se décliner sur ces divers thèmes :
- Comment considérer la psychiatrie en 2013 ? (la loi de 2011 et sa réforme). Quelle répression et quel contrôle social exerce-t-elle ?
- Médicalisation et psychologisation (médico-sociale) croissantes de la société, qu’en est-il ?
- Le rôle social de la psychiatrie, quelles histoires ?
- Les années 60-70, qu’en reste-t-il aujourd’hui ?
- La notion de souffrance psychique, quelles problématiques derrière la formule ? Et quels modes de gestion ?
- Que penser des concepts médico-psychiatriques (notamment des modes de désignation des différentes "pathologies" et autres "troubles", et autre "souffrance psychique") ? Et qu’en faire ? S’en réapproprier certains ou achever de les déconstruire ?
- Comment considérer la psychiatrie en 2013 ? (la loi de 2011 et sa réforme). Quelle répression et quel contrôle social exerce-t-elle ?
- Médicalisation et psychologisation (médico-sociale) croissantes de la société, qu’en est-il ?
- Le rôle social de la psychiatrie, quelles histoires ?
- Les années 60-70, qu’en reste-t-il aujourd’hui ?
- La notion de souffrance psychique, quelles problématiques derrière la formule ? Et quels modes de gestion ?
- Que penser des concepts médico-psychiatriques (notamment des modes de désignation des différentes "pathologies" et autres "troubles", et autre "souffrance psychique") ? Et qu’en faire ? S’en réapproprier certains ou achever de les déconstruire ?
Et dans le soucis de ne
pas trop séparer les deux pôles, "lieux de vie" et
"politique", il pourrait être intéressant de se poser la
question :
- Qu’est-ce que nous
combattons dans l’ordre de gestion psychiatrique ? Et comment ne pas
reproduire le même type de pensée dans un lieu de soin alternatif ?
- Comment penser un rapport de soin sans rapport de pouvoir ?
- Quelles diverses formes de rapports pathogènes avons-nous à éviter dans la construction de nos propres organisations collectives ?
- Quels sont nos besoins, concernant de tels lieux ?
- Comment penser un rapport de soin sans rapport de pouvoir ?
- Quelles diverses formes de rapports pathogènes avons-nous à éviter dans la construction de nos propres organisations collectives ?
- Quels sont nos besoins, concernant de tels lieux ?
Voila ce sont juste quelques pistes... Si vous avez également des thèmes à proposer
avant, cela permet de réfléchir un peu et de se documenter pour enrichir les
discussions... On compte également projeter des films... Si vous en avez,
amenez-les !
Les rencontres sont
autogérées, organisées sur place. Le mieux (sauf si on vient en stop ou qu’on
est fauché-e) est d’apporter avec soi à manger et à boire, ainsi que de bonnes
chaussures, un duvet, un pull pour le soir et une lampe de poche (important, la
lampe de poche !) ; d’ores et déjà, une personne qu’il faudra
défrayer par une petite participation, amène des légumes (bios) pour 25
personnes pour une semaine, et un peu de vin. Sachez que les premiers commerces
sont éloignés de 17 km, donc, prenez votre nécessaire avec vous !
On préfère qu’il ne soit pas consommé sur le lieu de viande ni de poisson, ni d’oeufs de poules en batterie, ainsi qu’éviter la présence de chiens, à cause des poules, des chats et des chèvres qui sont déjà présentes.
Prévenez de votre venue en répondant à ce mail, ou en téléphonant (ci-dessous)...
L’adresse, c’est : Collectif de Marivieille
Ferme Marivieille
26470 Bellegarde en Diois
tél. 04 75 21 44 91
mail : marivieille (at) riseup.net
On préfère qu’il ne soit pas consommé sur le lieu de viande ni de poisson, ni d’oeufs de poules en batterie, ainsi qu’éviter la présence de chiens, à cause des poules, des chats et des chèvres qui sont déjà présentes.
Prévenez de votre venue en répondant à ce mail, ou en téléphonant (ci-dessous)...
L’adresse, c’est : Collectif de Marivieille
Ferme Marivieille
26470 Bellegarde en Diois
tél. 04 75 21 44 91
mail : marivieille (at) riseup.net
Marivieille se trouve
entre Valence (dans la vallée du Rhône, à 100 km au sud de Lyon) et Gap (dans
les Hautes-Alpes, du côté de l’Italie), dans les contreforts des Alpes, à
quelques 1000 m d’altitude, dans une région sauvage, très peu habitée. C’est
une petite vallée parfois paisible.
Venir, c’est faisable en
voiture, ou bien en train plus stop (train jusqu’à Die ou jusqu’à Luc en Diois
ou, pour qui vient du sud, jusqu’à Serres, au-dessus de Sisteron ou de
Nyons) ; c’est également faisable, à peu de frais, en train plus taxi
hyper pas cher, comme vous le saurez si vous nous écrivez pour en savoir
plus !
Il y aura aussi
certainement des possibilités de covoiturage d’un peu partout en France ;
écrivez-nous aussi pour proposer ou demander un lift...
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