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mercredi 9 octobre 2013

Mais où vont nos déchets ? ( 1ère Partie)...



Recyclage des déchets: la Drôme parmi les cancres
En moyenne, 50 kg  (sur 450 kg) sont recyclés chaque année par personne en France.
Le département de la Drôme continue à progresser en matière de recyclage des emballages ménagers, mais reste avant-dernière du classement français juste devant la Corse, avec une performance de 36,2 kilos par habitant et par an, a indiqué mardi l'organisme Eco-emballages.
Le nombre de tonnes d'emballages ménagers recyclés (plastique, acier, aluminium, briques, cartons, bouteilles en verre), 17.503 tonnes en 2012, a progressé de 4,75% sur un an en région grâce aux efforts de 300 communes et des centres de tri de la région, selon des chiffres régionaux présentés devant la presse.
Mais cela reste nettement en dessous de la moyenne nationale de 50 kg recyclés chaque année par personne, ou de la performance d'autres régions particulièrement vertueuses comme la Franche-Comté (66 kg recyclés par habitant).
En France les départements affichent des chiffres très variés : 26,4 kg recyclés par habitant dans les Bouches-du-Rhône par exemple, 42,9 kg dans les Alpes-Maritimes, mais davantage dans des endroits moins densément peuplés.
Le profil national du bon trieur est en effet plutôt «âgé, rural et propriétaire d'un pavillon», souligne Richard Quemin, directeur régional Eco-Emballages pour le Sud-Est. Il admet que le défi reste surtout à relever dans les villes où se concentrent les logements collectifs et chez les jeunes.
L'organisme tente constamment d'affiner la dotation en bacs de tri à l'extérieur ou l'intérieur des immeubles. Il déploie aussi sur le terrain des «ambassadeurs du tri», encore trop peu nombreux, qui vont voir les particuliers.
La région est notamment nettement en dessous de la moyenne nationale pour le tri de verre recyclé par habitant en 2012 (20,8 kg contre 30,5 kg en France
Lorsqu'il est déposé dans un bac à ordures ménagères, le verre résiste plus de 4.000 ans avant d'être éliminé.
Le taux de recyclage des emballages a stagné à 67% en 2012 pour l'ensemble de la France et n'a progressé que d'un point par an en moyenne sur les dix dernières années, a rappelé Richard Quemin. L'objectif du Grenelle de l'environnement est d'atteindre 75% en France en 2016.
Tri et Recyclage sur la Zone SYTRAD (357 communes du nord Drôme et nord Ardèche) 
Les chiffres clefs du tri   Corps plats : En 2011, 16 347 tonnes ont été recyclées, ce qui représente 32,9 kilos par habitant et par an (kg/hab./an), réparties comme suit :
- 12 669 T. de JRM (Journaux, Revues, Magazines) ;
- 3 149 T. de PCNC (Papiers Cartons Non Complexés) ;
- 529 T. de refus.
Corps creux : 7,5 kg/hab./an ont été recyclés en 2011, soit un total de       3 707 tonnes composées
comme suit :
- 769 T. de PET (plastique transparent) clair ;
- 310 T. de PET foncé ;
- 526 T. de PEHD/PP (plastique opaque) ;
- 635 T. d'acier ;
- 31 T. d'aluminium ;
- 351 T. de PCC (Papiers Cartons Complexés - anciennement briques alimentaires).
- 1 085 T. de refus
Cartons de déchetteries : 5 691 tonnes ont été recyclées en 2011 (dont 104 tonnes de refus).
Verre : 14 861 tonnes ont été réceptionnées par les verriers (Saint Gobain - Loire - et OI Manufacturing - Ardèche), soit 30,3 kg/hab./an
Ordures ménagères : En 2011, la production d’ordures ménagères résiduelles sur le territoire a été de 128 330 tonnes
Compostage individuel 
Pourquoi composter? Si aucun tri n'est réalisé, une famille (soit environ 2,5 personnes) produit environ 1 tonne d'ordures ménagères chaque année. Or, pour l'instant l'ensemble de ces déchets est enfoui.
Ainsi, trier et composter ses déchets permet de protéger l'environnement en contribuant au recyclage, de limiter les transports et de faire des économies
En participant aux collectes sélectives, une famille peut recycler 442 kg de matériaux par an ; soit plus de la moitié de sa poubelle.
En pratiquant le compostage individuel, la même famille peut valoriser 50 kg de plus de déchets.
Comme on le voie, en triant et en compostant, il est possible d'éviter l'enfouissement des trois quarts de nos déchets.
Ainsi, trier et composter contribuent efficacement à la réduction de la production de déchets !
Tri et Recyclage 
Le devenir des matériaux triés 
 Le bonheur est dans ………le recyclé !
Les papiers et cartons : tous les papiers et cartons se recyclent une dizaine de fois, ils permettent d’éditer des journaux, de produire du papier recyclé, de fabriquer des cartons bruns, … Chaque tonne de carton recyclé fait économiser 2,5 tonnes de bois ;
Le verre : en France, 1 bouteille sur 2 est en verre recyclé. Le verre peut se recycler indéfiniment et à 100 %. Le verre recyclé appelé calcin, est d’ores et déjà la principale matière première de l’industrie du verre. Chauffé à plus de 1 500°C, l’emballage en verre produit toutes les formes qu’on lui demande et redevient un emballage ;
Les briques alimentaires sont composées à 75% de papier carton (couche extérieure), 20% de plastique (couche intérieure) et 5% d’aluminium (couche intermédiaire). C’est essentiellement le carton qui les compose qui est recyclé, sous forme de papier d’essuyage, d’enveloppes ou de papier cadeau ;
Les plastiques qu’ils soient transparents (PET) ou opaques (PEHD) se recyclent en de multiples objets de la vie quotidienne :
- pour le PET, en rembourrage de coussin ou de couette, en fibre de tissu polaire, en carte de crédit,…
- pour le PEHD, en tuyaux, en mobilier urbain, en poubelle, etc …
Chaque tonne de plastique recyclé permet d’économiser 700 kg de pétrole brut. Ainsi, près de
60 000 tonnes de pétrole peuvent être préservée chaque année ;
L’aluminium se recycle à 100% et à l’infini, il permet de fabriquer des cadres de vélo, du mobilier moderne, des pièces auto, de l’électroménager… En recyclant l’aluminium, on économise 95% de l’énergie nécessaire pour en fabriquer du « neuf » ;
L’acier se récupère facilement par magnétisme. Il entre dans la fabrication d’outils, de casseroles, d’éléments de train, de chariots, etc … Chaque tonne d’acier recyclé permet d’économiser une tonne de minerai de fer.
Compétences et statuts :
Le SYTRAD, SYndicat de TRaitement des déchets Ardèche Drôme, est un syndicat mixte fermé.
Créé en 1992, il assure une mission de service public : le traitement des déchets ménagers et assimilés produits par les habitants de son territoire. Les différentes collectes et la gestion des déchetteries ne relèvent pas de la compétence du SYTRAD, mais de celle de ses collectivités membres.
Ainsi, le SYTRAD traite les déchets recyclables issus des collectes sélectives (à l'exception du verre), les ordures ménagères résiduelles (ou poubelle grise), les encombrants et les cartons de certaines déchetteries ainsi que les déchets des artisans, des commerçants et des prestataires de service qui sont collectés en mélange avec ceux des ménages.
Pour ce faire, le SYTRAD possède ses propres installations qu'il entretient, modernise et développe, à savoir:

- un centre de tri des collectes sélectives situé à Portes-lès-Valence.
Bien que divisés en seulement trois catégories de bacs (bleu, jaune, vert), les matériaux recyclables composent un ensemble hétérogène.
En effet, comme chacun peut le constater, sont mélangés au sein d’un même conteneur des emballages de natures différentes (les plastiques avec les métaux ou les cartonnettes avec les journaux) qui ne peuvent pas être recyclés par un même site industriel.
Afin de ne pas multiplier les consignes de tri et les bacs, il a été privilégié le regroupement des matériaux en trois grandes familles (vert, jaune, bleu), tandis que le tri plus approfondi est réalisé au sein de sites dédiés.
Ainsi, le centre de tri du SYTRAD permet de séparer et conditionner les emballages qui composent d’une part la famille des corps creux, issus du bac jaune et d’autre part la famille des corps plats, issus du bac bleu.
De ce fait, alors que deux familles de matériaux sont acceptées au centre de tri, ce sont neuf catégories qui en repartent :
Pour les corps plats : les gros de magasin (refus issus du process (défineur)), les emballages ménagers recyclables (cartons et cartonnettes) et les journaux/revues et papiers teintés ;
Pour les corps creux : les briques alimentaires, l’acier, l’aluminium, le plastique transparent (PET) clair, le PET foncé (bleu, vert, rouge) et le PEHD (plastique opaque).
Moins hétérogène, le verre n’a pas besoin de transiter par le centre de tri et peut être directement acheminé vers sa destination de recyclage, la verrerie.
Quelle qu’elle soit, chaque catégorie de matériaux après avoir été isolée et emballée au centre de tri et vendue, dans le cadre d’un marché comparable au marché boursier, à des sociétés qui en réalisent le recyclage.
De plus, Eco-Emballages, l’organisme national de soutien des collectes sélectives, apporte, en fonction des volumes recyclés, une compensation financière. Ainsi, vente des matériaux et soutiens financiers font du tri et du recyclage un véritable secteur économique.
Le centre de tri a été autorisé par arrêté préfectoral du 22 juillet 1998 et mis en exploitation en 1999. A l'origine, sa capacité de tri correspondait à
15 000 tonnes par an.  Le centre de tri a fait l'objet de travaux de réhabilitation entre octobre 2008 et juillet 2010 afin d'agrandir le site et de le moderniser pour faire face à sa saturation et atteindre l'objectif de 25 % de recyclage fixé par le Plan Interdépartemental d'Elimination des Déchets (PIED).
Afin de réaliser un centre intégrant toutes les contraintes et tous les retours d'expérience, le SYTRAD a travaillé en partenariat avec :
- La Caisse Régionale d'Assurance Maladie (CRAM) avec laquelle il a signé une convention Arch'enge concernant le développement de la Qualité de Vie au travail. La convention est accessible via le lien ci-dessous ;
- Eco-Emballages et son chef de projet national des centres de tri ;
- Des exploitants d'équipements comparables et notamment celui actuellement en charge du site.
L'exploitation du site est soumise à autorisation Préfectoral (arrêté préfectoral d'exploiter n°07-4187 du 03/08/2007) modifié par l'arrêté préfectoral n°2011269-0022 du 26/09/2011.
Actuellement, la capacité de tri du site est de 40 000 tonnes/an. En 2011, 26 148 tonnes de déchets ont été triés par le centre de tri.
Pour permettre un niveau aussi élevé de fonctionnement, ce sont 30 agents qui se mobilisent au quotidien dont 8 provenant de l'atelier protégé des «Compagnons de la Drôme».
Chaque année, les performances de tri sont calculées et la progression de chacun des membres du SYTRAD analysée.
- une installation de stockage de déchets non dangereux (ISDND) localisée à Saint-Sorlin-en-Valloire  
Historique de l'ISDND de Saint Sorlin en Valloire 
Une ISDND : Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux (selon la dernière modification de l'arrêté ministériel du 9 septembre 1997 modifié le 19 janvier 2006). Une ISDND est une décharge conçue pour le stockage des déchets non dangereux, c'est-à-dire, sans générer de pollution de l'environnement. Le site de Saint Sorlin en Valloire est une ISDND.
Autrefois appelés 'décharges d'ordures ménagères', les ISDND (Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux) ou CSDMA (Centres de Stockage de Déchets Ménagers et Assimilés) ont été renommés afin d'induire une notion de stockage (temporaire), jusqu'à ce que d'éventuelles techniques futures apportent une solution plus efficace pour l'élimination de ces déchets.
Depuis le 1er janvier 2005, le SYTRAD exploite l'ISDND de Saint Sorlin en Valloire. En activité depuis le 1er avril 1979, le site était exploité en régie directe, jusqu'en 2004, par le SIRCTOM - Syndicat Rhodanien de Collecte et de Traitement des Ordures Ménagères.
Avec le transfert au SYTRAD, le mode de gestion et le personnel du site ont été conservés.
Fonctionnement général de l'ISDND
L'exploitation du site est autorisée par les arrêtés préfectoraux successifs du 24 novembre 1976, du 22 février 1993, du 22 mars 2002, du 18 octobre 2004, du 08 décembre 2006, du 09 décembre 2007 et du 30 janvier 2009. Depuis le 30 juin 2010, le site est soumis à l'arrêté préfectoral complémentaire n°10-2637 relatif à l'étude de « Rejet de Substances Dangereuses dans l'Eau » (RSDE).
L'installation de stockage est un ensemble de casiers creusés dans le sol et étanchéifiés. Un casier est divisé en plusieurs alvéoles. Une alvéole à une capacité de 2 700m² maximum (selon l'arrêté préfectoral d'exploiter). Une seule alvéole à la fois peut être exploitée. Les déchets, déposés dans les alvéoles du casier en activité, sont compactés par couches successives et recouvert au moins de matériaux inertes et incombustibles afin de limiter les envols et les odeurs.
La capacité maximale annuelle du site est de 30 000 tonnes de déchets (selon l'arrêté préfectoral d'exploiter).
Au terme de l'exploitation, le casier est étanchéifié et recouvert d'une couche d'argile. Cette étanchéification permet d'équiper le casier d'un drainage des eaux de ruissellement superficielles. Sur cette couverture, des puits de collecte du biogaz sont forés dans le massif de déchets. Ils permettent d'aspirer le gaz produit par la fermentation des déchets, pour être brulé dans une  torchère.
En dernier lieu, un apport de terre végétale et une végétalisation des casiers sont effectués afin de restituer au site, autant que possible, son aspect paysager d'origine.
L'ISDND reçoit aujourd'hui trois types de déchets :
Les refus de tri issus des Centres de Valorisation des Déchets ;
Les refus de tri provenant du Centre de Tri des collectes sélectives de Portes-lès-Valence ;
Les divers et encombrants des déchetteries des EPCI membres du SYTRAD.
Le site couvre un peu moins de 12 hectares. Il est géré par une Chargée de mission technique et deux Agents d'exploitation.
Le compactage est effectué par un prestataire privé dans le cadre d'un marché de mise à disposition d'engins de chantier avec conducteur.
Actuellement, le site est ouvert du lundi au vendredi de 8h30 à 16h45 et le samedi de 8h00 à 12h00. Le site n'est pas accessible au public, à l'exception des visites organisées par le SYTRAD.
2 - Traitement des effluents 
L'activité de stockage des déchets génère deux sous produits : 
Le biogaz
Il est produit par la fermentation anaérobie des déchets. Ce gaz est riche en méthane. Sans traitement, ses émanations contribueraient à l'effet de serre. C'est pourquoi, le biogaz est collecté par 17 puits de dégazage et canalisé par un réseau afin d'être brûlé par une torchère. Depuis 2009, 7 drains de dégazage provisoire ont été installés dans le casier A1. Ces drains « horizontaux » sont déposés dans le casier lorsqu'il est en cours de remplissage. Ils permettent un dégazage à l'avancement sans attendre la fin de l'exploitation du casier et la mise en place du réseau définitif (puits de dégazage).
Les lixiviats
Ils résultent de la percolation des eaux pluviales au travers des déchets. Ils sont chargés en matière organique et en polluants divers. Rejetés sans traitement au milieu naturel, ils pourraient polluer l'environnement. Aussi, ils sont pompés dans 8 puits de lixiviats, stockés dans un bassin étanche puis traités par la station de traitement des lixiviats de l'ISDND depuis décembre 2010. Le traitement est un traitement par BIOMEMBRAT suivi de Charbon actif.
3 - Gestion de l'ISDND
Les points forts de cette gestion sont les suivants :
3.1 - Une utilisation optimisée de l'espace
 Le compactage quotidien des déchets, ajouté à la réception des refus de tri provenant des centres de valorisation des déchets, ont permis d'augmenter la densité des déchets enfouis.
- ordures ménagères (OM) non compactées, densité : 0,6 ;
- densité actuelle : 1,16.
Cette diminution du volume nécessaire au stockage permet de maîtriser la consommation d'espace et d'utiliser de façon plus raisonnée et durable la ressource foncière.
3.2 - Un contrôle rigoureux des dépôts
 Conformément à ses engagements, le SYTRAD entreprend, depuis 2005, le contrôle des dépôts. Ce dispositif s'appuie sur 3 points :
- Adoption de certificats préalables d'acceptation des déchets ;
- Accès au site après contrôle de la radioactivité et pesée ;
- Renfort du contrôle visuel quant à l'admissibilité des déchets lors du dépotage.
 3.3 - Une gestion efficace et des impacts moindres
 ◊ Limitation des nuisances :
- Compactage 36h par semaine avec un engin respectant la réglementation en vigueur ;
- Exploitation de surfaces réduites régulièrement recouvertes pour limiter les odeurs et les envols ;
- Optimisation du traitement du biogaz ;
- Ramassage systématique des envols ;
- Mise en place de filets anti-envols en périphérie du casier en exploitation ;
- Lutte efficace contre les nuisibles (mission confiée à un prestataire spécialisé).
Intégration dans le paysage :
- Enherbement du casier 3-3 ; 3-4 et 4 ;
- Mise en place de rampants sur les flancs du casier 4 ;
- Projet de remplacement des locaux actuels par des bâtiments modulaires de Haute Qualité Environnementale.
Aménagement du réseau hydrique :
- Amélioration du réseau de collecte des eaux de ruissellement (création de fossés, de busages, reprofilage des pentes) ;
- Aménagement du fossé extérieur (busage) ;
- Installation de colonnes de relevage incendie sur tous les bassins de stockage des eaux de ruissellement.
Gestion des lixiviats :
- Installation d'un système de relevage automatisé des lixiviats pour les casiers pourvus de leurs couvertures finales ou provisoires ;
- Installation d'une station de traitement fixe des lixiviats. Traitement par Biomembrat suivi de Charbon actif.
Gestion du biogaz :
- Travaux d'amélioration du réseau de captage et de collecte du biogaz ;
- Optimisation du fonctionnement de la torchère, contrat de suivi et de maintenance du réseau de collecte du biogaz et de la torchère.
Depuis qu'il est en charge de la gestion de l'ISDND, le SYTRAD a engagé de nombreuses actions tendant à poursuivre l'amélioration de la perception du site et à limiter encore son impact sur le voisinage et l'environnement.
4 - Bilan de l'activité
4.1 - Tonnage déchets
En 2010, l'ISDND a enfoui 25 535 tonnes de déchets ménagers et assimilés, soit 56,2% de plus qu'en 2009.
La provenance des déchets était la suivante :
- 82% de refus de tri issus des Centres de Valorisation des Déchets* (Saint Barthélémy de Vals et Beauregard-Baret) ;
- 3% de refus de tri provenant du Centre de Tri des collectes sélectives de Portes-lès-Valence** ;
- 14% de divers et encombrants des déchetteries des EPCI membres du SYTRAD ;
- 1% d'Ordures Ménagères brutes.
* Depuis 2009, le site reçoit les refus lourds des Centres et non les déchets directement issus de la collecte OM. Les refus lourds sont composés d'environ 72% de matière sèche.
** Il s'agit essentiellement d'emballages ménagers souillés et d'erreur de tri (films plastiques, objets divers en plastiques, bois, papiers cartons souillés ...). A l'inverse des OM, ces refus contiennent peut de matières fermentescibles. A noter également que ces refus ne contiennent plus de déchets spéciaux, de verre et de métaux, étant donné que ces derniers sont captés au niveau des cabines de pré tri et traités dans des filières spécialisées.
A terme, le tonnage accueilli à Saint Sorlin en Valloire, avec la réception des refus provenant du Centre de Valorisation d'Etoiles-sur-Rhône devrait avoisiner les 30 000 tonnes annuelles.
4.2 - Coût de l'enfouissement
Le coût facturé aux utilisateurs de l'ISDND résulte de l'ensemble des dépenses engendrées par la gestion du site au cours de l'année. En 2010, le coût moyen d'enfouissement s'est élevé à 50,00 euros HT/T, hors TGAP (Taxe Générale sur les Activités Polluantes). Pour mémoire, la TGAP s'élève pour l'ISDND du SYTRAD à 17€/T entrante en 2010.
5 - Travaux d'extension de l'installation
Début 2009, après autorisation des services de l'Etat d'exploiter une extension, le site s'est étendu sur 3,3 ha au Sud et a conservé une surface d'exploitation, la plus réduite possible. Le premier casier de cette extension, casier A1, a été ouvert en mai 2009, pour une durée de 3 ans.
De ce fait, les travaux de création d'un second casier, casier A2, vont être entrepris courant 2011 afin de permettre une exploitation en 2012. 
- et trois centres de valorisation organique des déchets ménagers résiduels construit à Beauregard Baret, Etoile sur Rhône et Saint-Barthélemy-de-Vals.
Valorisation des déchets résiduels
3 centres de valorisation 
Etoile sur Rhône
Sur une parcelle très plate, en bordure d'autoroute A7 et de Nationale 7, le site sur lequel se construit le centre va permettre de valoriser de l'ordre de 80 000 tonnes de déchets résiduels chaque année.
A Etoile sur Rhône, ce sont 80 000 tonnes d´ordures ménagères résiduelles qui seront traitées chaque année (63 % de siccité). Elles permettront de produire :
30% de Combustible, soit 23 829 Tonnes/an
20% de Compost, soit 15 932 Tonnes/an
19% de Fraction à enfouir (stabilisât inertes), soit 15 532 Tonnes/an
5% de Matériaux recyclables et ferrailles, soit 3 810 Tonnes/an
26% d'Evaporation, soit 20 897 Tonnes/an
(Remarque : Tous les tonnages sont exprimés en matière brute).
Ce centre desservira les collectivités suivantes : SICOM du Dauphin, GIC, CC du Pays de Saillans, SMIEOM du Plateau, CC du Crestois, CC du Val de Drôme, Valence Major, SITVOM Rhône Eyrieux, CC du Diois, CC Privas Rhône et Vallées, SICTOMSED, CC des Confluences et CC Barrès-Coiron.
Le site va engendrer un trafic routier qui est à rapprocher du trafic existant.
Chaque jour :
3 camions emprunteront les départementales 93 et 111 pour rejoindre le site ;
26 camions utiliseront la nationale 7 ;
5 camions prendront la départementale 86.
A ces chiffres, il faut ajouter les camions qui repartiront du site, soient environ 20 de plus, qui emprunteront de préférece la nationale 7.
En comparaison avec le trafic actuel sur ces différentes voies (données DDE), cela représente, en terme de trafic poids lourds uniquement, une augmentation de :
0,45 % sur la D 111 ;
2,85 % sur la N7 ;
2,14 % sur la D 86.
Si l´on compare le nombre de camions desservant le centre par rapport au trafic total cela représente une augmentation de :
0,003 % sur le D 111 ;
0,28 % pour la N7 ;
0,17 % sur la D 86.
En conclusion, il faut comparer les 54 camions générés par le centre de valorisation d´Etoile-sur-Rhône aux 16 454 véhicules qui empruntent chaque jour le nationale 7, dont environ 1 612 poids lourds et aux 76 360 véhicules, dont environ 13 363 camions qui utilisent quotidiennement l´autoroute A7, soit un total sur cette zone de 92 814 véhicules, dont 14 975 poids lourds. Ainsi, les camions du centre de valorisation représenteront une augmentation de 0,06% par rapport à l´ensemble du trafic routier et autoroutier de la zone d´Etoile-sur-Rhône/ Fiancey.
Bien que mécanisé, le site permettra de créer entre vingt et trente emplois directs.
L´objectif du SYTRAD a été de créer des sites engendrant le moins de nuisances possibles et de s´intégrer au mieux à leur environnement.
La conception des centres répond aux interrogations suivantes :
Pourquoi aucune nuisance olfactive ?
L´ensemble des opérations (déchargement, tri, préparation, affinage, compostage, maturation et stockage) se réalise dans des bâtiments fermés, confinés et soumis à un traitement de l´air constant via 2 chaînes de biofiltres fonctionnant en parallèle.
Pourquoi aucun envol ?
Parce que tout se déroule sous bâtiment, aucun déchargement et aucun stockage n´étant autorisé à l´extérieur.
Quelle gestion du bruit ?
Aucun recul des camions ou des engins de chargement en extérieur. L´ensemble des appareils bruyants (bioréacteur, ventilateur, retourneuse) se trouve à l´intérieur des bâtiments.
Quelles garanties ?
- Sur la qualité globale du projet : Application stricte de la Charte de Qualité Environnementale du SYTRAD ;
- Sur les caractéristiques des bâtiments : Transposition et mise en pratique des principes de la construction à Haute Qualité Environnementale (HQE ®) ;
- En matière de gestion des équipements : Exploitation des centres selon les prescriptions de la norme ISO 14 001 de management environnemental ;
- En matière d´information du public : Comme cela a toujours été le cas, le SYTRAD continuera à faire toute la transparence sur ses projets, par ailleurs, ses centres ont été soumis à Enquête Publique et disposeront, quant ils auront été créés d´une Commission Locale d´Information et de Surveillance (CLIS).
Au plan architectural, l´objectif a été de construire trois centres sur trois sites distincts, de capacités différentes, mais présentant pour des raisons de standardisation des équipements et d´image, une grande similarité architecturale et une identité commune.
Le site d´Etoile sur Rhône est marqué par la ligne EDF qui coupe le terrain au Nord Ouest, par une absence de relief et par la proximité immédiate des grands axes routiers (Autoroute A7 et Nationale 7).
Afin de s´intégrer au mieux au paysage, le choix s´est porté sur la fragmentation des volumes, en cohérence avec la disposition des différents modules techniques.
Trois zones principales ont ainsi été définies : le hall d´accueil/administration, le bâtiment de process (divisé en 2 corps de bâtiment) et la zone de stockage.
- Accueil et administration se trouvent dans un bâtiment construit sur pilotis (hauteur totale de 10 m), équipé d´une cage d´ascenseur, il est le point de départ du circuit de visite ;
- Le bâtiment de process est, à Etoile, parallèle à la ligne EDF. Il présente des façades métalliques et des toitures à pentes alternées réalisées en bacs aciers et fermées par des éléments de polycarbonate translucide afin de bénéficier au maximum d´un ensoleillement naturel. Sa charpente est en bois.
- La zone de stockage est un gros tambour dont les façades sont en bardage bois sur leur partie supérieure et en voile de béton sur leur partie inférieure pour des raisons de sécurité et de risque de chocs des véhicules.
L´ensemble du centre s´inscrit sur une parcelle de 65 000 m² et présente une surface totale de 15 300 m². Sa hauteur maximale est de 12 m (corps de bâtiment).
Saint Barthélemy de Vals
Au coeur d'une parcelle accidentée et boisée, non loin de l'autoroute A7, le centre de valorisation accueillera environ 40 000 tonnes d'ordures par an.
A St Barthélemy de Vals, ce sont 40 000 tonnes d´ordures ménagères résiduelles qui seront traitées chaque année (63 % de siccité).
Elles permettront de produire :
34% de Combustible, soit 13 520 Tonnes/an
26% de Compost, soit 10 627 Tonnes/an
12% de Fraction à enfouir, soit  4 705 Tonnes/an
3% de Matériaux recyclables et Ferrailles, soit 1 074 Tonnes/an
25% d'Evaporation, soit 10 074 Tonnes/an
(Remarque : Tous les tonnages sont exprimés en matière brute.)
Ce centre desservira les collectivités suivantes : SIRCTOM, CC de l´Herbasse, CC du Tournonais, CC du Val d´Ay, CC du Bassin d´Annonay et CC du Pays de St Félicien.
Le site va engendrer un trafic routier qui est à rapprocher du trafic existant.
Chaque jour :
Ce seront 20 camions qui arriveront aux sites (dont 17 bennes OM) et 10 qui en repartiront, soit un total au quotidien de 30 camions.
Ils emprunteront les RD 112 et RD 109, ainsi que la voie communale n°13.
Afin de sécuriser le trafic routier, le carrefour avec la RD 112 va être réaménagé et la VC 13 a été élargie.
Actuellement, ce sont 2 946 véhicules qui empruntent la RD 112 chaque jour et 2 207 véhicules qui empruntent la RD 109. Les 30 camions du centre de valorisation engendreront donc une augmentation de 0,6 % du trafic sur ces deux voies, ce chiffre étant à rapprocher du trafic sur l´autoroute A7 qui est de 64 538 véhicules par jour, dont 12 908 poids lourds.
En conclusion, sur l´ensemble de cette zone, 69 691 véhicules empruntent chaque jour les diverses voies disponibles, dont 13 207 camions. La création du centre de valorisation du SYTRAD provoquera donc une hausse de 0,04 % du trafic global et de 0,23 % du seul trafic poids lourds.
Bien que mécanisé, le site permettra de créer une douzaine d´emplois directs.
L´objectif du SYTRAD a été de créer des sites engendrant le moins de nuisances possibles et de s´intégrer au mieux à leur environnement.
La conception des centres répond aux interrogations suivantes :
Pourquoi aucune nuisance olfactive ?
L´ensemble des opérations (déchargement, tri, préparation, affinage, compostage, maturation et stockage) se réalise dans des bâtiments fermés, confinés et soumis à un traitement de l´air constant via 2 chaînes de biofiltres fonctionnant en parallèle.
Pourquoi aucun envol ?
Parce que tout se déroule sous bâtiment, aucun déchargement et aucun stockage n´étant autorisé à l´extérieur.
Quelle gestion du bruit ?
Aucun recul des camions ou des engins de chargement en extérieur. L´ensemble des appareils bruyants (bioréacteur, ventilateur, retourneuse) se trouve à l´intérieur des bâtiments.
Quelles garanties ?
- Sur la qualité globale du projet : Application stricte de la Charte de Qualité Environnementale du SYTRAD ;
- Sur les caractéristiques des bâtiments : Transposition et mise en pratique des principes de la construction à Haute Qualité Environnementale (HQE ®);
- En matière de gestion des équipements : Exploitation des centres selon les prescriptions des la norme ISO 14 001 de management environnemental ;
- En matière d´information du public : Comme cela a toujours été le cas, le SYTRAD continuera à faire toute la transparence sur ses projets, par ailleurs, ses centres ont été soumis à Enquête Publique et disposeront, quant ils auront été créés d´une Commission Locale d´Information et de Surveillance (CLIS).
Au plan architectural, l´objectif a été de construire trois centres sur trois sites distincts, de capacités différentes, mais présentant pour des raisons de standardisation des équipements et d´image, une grande similarité architecturale et une identité commune.
Le site de St Barthélemy de Vals est caractérisé par une forte pente, un environnement boisé et le maintien d´activités agricoles à proximité immédiate.
Afin de s´intégrer au mieux au paysage et de respecter les atouts paysagers et environnementaux du site, le choix s´est porté sur la fragmentation des volumes, en cohérence avec la disposition des différents modules techniques et dans le respect des lignes de pentes.
Trois zones principales ont ainsi été définies : le hall d´accueil/administration, le bâtiment de process (divisé en 2 corps de bâtiment) et la zone de stockage.
- Accueil et administration se trouvent dans un bâtiment construit sur pilotis (hauteur totale de 10 m), équipé d´une cage d´ascenseur, il est le point de départ du circuit de visite. La présence des pilotis permet, sans consommer plus d´espace de créer une zone de parking au dessous ;
- Le bâtiment de process suit la pente. Il s´agit d´un corps de bâtiment à charpente bois, de forme parallélépipédique, à façades bois sur leur partie haute et béton en partie basse et à toiture végétalisée ce qui est un atout dans le cadre des visions par le dessus qui peuvent donner à découvrir le centre ;
- La zone de stockage est un gros tambour dont les façades sont en bardage bois sur leur partie supérieure et en voile de béton sur leur partie inférieure pour des raisons de sécurité et de risque de chocs des véhicules.
L´ensemble du centre s´inscrit sur une parcelle d´un peu moins de 50 000 m² et présente une surface totale de 9 100 m². Sa hauteur maximale est de 12 m (corps de bâtiment).
Beauregard Baret
Au sein d'une parcelle présentant un plateau entouré de fortes pentes, boisée et relativement isolée, non loin de l'autoroute A39 et de la départementale 532, le centre de valorisation va traiter quelques 30 000 tonnes annuelles de déchets résiduels.
A Beauregard Baret, ce sont 30 000 tonnes d´ordures ménagères résiduelles qui seront traitées chaque année (63 % de siccité).
Elles permettront de produire :
34% de Combustible, soit 10 140 Tonnes/an
26% de Compost, soit  7 920 Tonnes/an
12% de Fraction à enfouir, soit 3 529 Tonnes/an
3% de Matériaux recyclables et Ferrailles, soit 805 Tonnes/an
25% d'Evaporation, soit 7 606 Tonnes/an
(Remarque : Tous les tonnages sont exprimés en matière brute.)
Ce centre desservira les collectivités suivantes : SITROM du Royans, CC du Canton de Bourg de Péage, CC du Pays de Romans et CC du Vercors.
Le site va engendrer un trafic routier qui est à rapprocher du trafic existant.
Chaque jour :
Ce seront 17 camions qui arriveront aux sites (essentiellement des bennes OM) et 8 qui en repartiront, soit un total au quotidien de 25 camions.
Ils emprunteront la N 532 puis un chemin d´accès qui a été réalisé dans l´emprise de la parcelle propriété du SYTRAD.
Actuellement, ce sont 8 500 véhicules qui empruntent la N 532 chaque jour, dont 595 poids lourds. Les 25 camions du centre de valorisation engendreront donc une augmentation de 0,29 % du trafic sur cette seule voie, ce chiffre étant à rapprocher du trafic sur l´autoroute A49 qui est de 16 340 véhicules par jour, dont 1 634 poids lourds.
En conclusion, sur l´ensemble de cette zone, 24 840 véhicules empruntent chaque jour les diverses voies disponibles, dont 2 229 camions. La création du centre de valorisation du SYTRAD provoquera donc une hausse de 0,1% du trafic global et de 1,1% du seul trafic poids lourds.
Bien que mécanisé, le site permettra de créer une douzaine d´emplois directs.
L´objectif du SYTRAD a été de créer des sites engendrant le moins de nuisances possibles et de s´intégrer au mieux à leur environnement.
La conception des centres répond aux interrogations suivantes :
Pourquoi aucune nuisance olfactive ?
L´ensemble des opérations (déchargement, tri, préparation, affinage, compostage, maturation et stockage) se réalise dans des bâtiments fermés, confinés et soumis à un traitement de l´air constant via 2 chaînes de biofiltres fonctionnant en parallèle.
Pourquoi aucun envol ?
Parce que tout se déroule sous bâtiment, aucun déchargement et aucun stockage n´étant autorisé à l´extérieur.
Quelle gestion du bruit ?
Aucun recul des camions ou des engins de chargement en extérieur. L´ensemble des appareils bruyants (bioréacteur, ventilateur, retourneuse) se trouve à l´intérieur des bâtiments.
Quelles garanties ?
- Sur la qualité globale du projet : Application stricte de la Charte de Qualité Environnementale du SYTRAD ;
- Sur les caractéristiques des bâtiments : Transposition et mise en pratique des principes de la construction à Haute Qualité Environnementale (HQE ®) ;
- En matière de gestion des équipements : Exploitation des centres selon les prescriptions des la norme ISO 14 001 de management environnemental ;
- En matière d´information du public : Comme cela a toujours été le cas, le SYTRAD continuera à faire toute la transparence sur ses projets, par ailleurs, ses centres ont été soumis à Enquête Publique et disposeront, quant ils auront été créés d´une Commission Locale d´Information et de Surveillance (CLIS).
Au plan architectural, l´objectif a été de construire trois centres sur trois sites distincts, de capacités différentes, mais présentant pour des raisons de standardisation des équipements et d´image, une grande similarité architecturale et une identité commune.
Le site de Beauregard Baret est caractérisé par un plateau entouré de fortes pentes, ainsi que par un environnement naturel boisé.
Afin de s´intégrer au mieux au paysage et de respecter les atouts paysagers et environnementaux du site, le choix s´est porté sur la fragmentation des volumes, en cohérence avec la disposition des différents modules techniques et dans le respect des lignes de pentes.
Trois zones principales ont ainsi été définies : le hall d´accueil/administration, le bâtiment de process (divisé en 2 corps de bâtiment) et la zone de stockage.
- Accueil et administration se trouvent dans un bâtiment construit sur pilotis (hauteur totale de 10 m), équipé d´une cage d´ascenseur, il est le point de départ du circuit de visite ;
- Le bâtiment de process dispose d´une charpente bois. De forme parallélépipédique, il présente des façades bois sur leur partie haute et béton en partie basse et une toiture végétalisée ;
- La zone de stockage est un gros tambour dont les façades sont en bardage bois sur leur partie supérieure et en voile de béton sur leur partie inférieure pour des raisons de sécurité et de risque de chocs des véhicules.
L´ensemble du centre s´inscrit sur une parcelle d´un peu moins de 90 000 m² et présente une surface totale de 8 000 m². Sa hauteur maximale est de 12 m (corps de bâtiment).
Le SYTRAD regroupe aujourd’hui 22 structures intercommunales (communautés d'agglomération, communautés de communes et syndicats de collecte) du Nord et du Centre Drôme Ardèche. Son territoire couvre 357 communes de tailles très diverses et compte 533 615 habitants. Dont les 52 communes du Diois (14 752 habitants et le tourisme) et les 102 communes de la Biovallée de la Drôme (54 520 habitants et le tourisme) à quelques exceptions près contractualisées avec le Buech. Et Crest hors collecte SYTRAD. 
Pour rejoindre le siège du SYTRAD
SYTRAD
7 rue Louis Armand - ZI la Motte - 26800 Portes lès Valence
Tél : 04 75 57 80 00 - Fax : 04 75 57 75 14
E-mail : contact@sytrad.fr
Horaires d'ouverture : Du lundi au vendredi, de 8h30 à 16h30.


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